Abidjan- La ville de Tiassalé représente une zone de transmission élevée du paludisme , a déclaré Pr Brama Koné du Centre suisse de Recherches scientifiques en Côte d’Ivoire (CSRS), lors d'un atelier de restitution des résultats de l’étude du projet CR4D, portant sur "l’impact du changement climatique sur le risque de transmission du paludisme au sud de la Côte d’Ivoire".
Les conditions climatiques et les pressions anthropiques sur les écosystèmes à Tiassalé « partie la plus pluvieuse du pays », sont propices au paludisme et à bien d’autres maladies à transmission vectorielle, a expliqué mardi 11 mai 2021, à Abidjan, le chef de projet au CSRS, Pr Brama Koné.
L’objectif général du projet était d’analyser les paramètres climatiques et environnementaux associés à la transmission du paludisme à Tiassalé, une ville du sud de la Côte d’Ivoire, couplés aux résultats obtenus dans le nord de la Côte d’Ivoire.
Les résultats de ce projet serviront à développer des systèmes d’alerte précoce afin de prévoir les périodes à haut risque d’infection paludéenne en Côte d’Ivoire, a-t-il poursuivi.
Cette étude visait à améliorer la compréhension de l’impact climatique et environnemental sur la transmission du paludisme dans le sud de la Côte d’Ivoire.
Le secrétaire général de la Direction départementale de l’Education nationale et de l’Alphabétisation de Tiassalé, Eugène Gor Bi, pour sa part, espère que les résultats de cette étude conduiront à un changement de comportement par rapport à leur milieu de vie, prenant l’engageant aux côtés des autorités sanitaires à participer à toutes les luttes contre le paludisme.
A cet atelier de restitution des résultats de l’étude sur le paludisme, le directeur départemental de la Santé, Dr Guillaume Kouadio, s’est appesanti sur le mode de transmission du paludisme.
En Côte d’Ivoire, le paludisme est la maladie qui pèse le plus lourdement sur la santé avec une incidence estimée à 330 cas pour 1000 habitants en 2015, selon un rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
tg/eaa/tm
Les conditions climatiques et les pressions anthropiques sur les écosystèmes à Tiassalé « partie la plus pluvieuse du pays », sont propices au paludisme et à bien d’autres maladies à transmission vectorielle, a expliqué mardi 11 mai 2021, à Abidjan, le chef de projet au CSRS, Pr Brama Koné.
L’objectif général du projet était d’analyser les paramètres climatiques et environnementaux associés à la transmission du paludisme à Tiassalé, une ville du sud de la Côte d’Ivoire, couplés aux résultats obtenus dans le nord de la Côte d’Ivoire.
Les résultats de ce projet serviront à développer des systèmes d’alerte précoce afin de prévoir les périodes à haut risque d’infection paludéenne en Côte d’Ivoire, a-t-il poursuivi.
Cette étude visait à améliorer la compréhension de l’impact climatique et environnemental sur la transmission du paludisme dans le sud de la Côte d’Ivoire.
Le secrétaire général de la Direction départementale de l’Education nationale et de l’Alphabétisation de Tiassalé, Eugène Gor Bi, pour sa part, espère que les résultats de cette étude conduiront à un changement de comportement par rapport à leur milieu de vie, prenant l’engageant aux côtés des autorités sanitaires à participer à toutes les luttes contre le paludisme.
A cet atelier de restitution des résultats de l’étude sur le paludisme, le directeur départemental de la Santé, Dr Guillaume Kouadio, s’est appesanti sur le mode de transmission du paludisme.
En Côte d’Ivoire, le paludisme est la maladie qui pèse le plus lourdement sur la santé avec une incidence estimée à 330 cas pour 1000 habitants en 2015, selon un rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS).
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