Yamoussoukro– Plusieurs pépiniéristes du secteur de l’hévéa regroupés au sein du COPPHECI (collège des pépiniéristes professionnels de la filière hévéa de Côte d’Ivoire) ont planché récemment à Yamoussoukro sur les nouvelles orientations de leur mouvement devant aboutir à la reconnaissance et au respect de leur rôle dans la filière, a appris l’AIP ce jeudi 13 mai 2021.
« Nous pensons que nous avons atteint une certaine maturité qui nous permet de rassembler tous les membres afin de chercher les solutions à nos préoccupations qui sont celles de notre valorisation au niveau de la filière hévéa », a déclaré le président du COPPHECI, Traoré Mamadou qui justifiait la tenue de la rencontre.
Ainsi les pépiniéristes ont dans un premier temps acté la volonté de redynamiser les 18 sections de base de leur organisation avant d’émettre des objections sur un document qu’ils ont jugé important dans leurs rapports avec les autres acteurs qui interviennent dans le secteur.
Il s’agit de la fiche d’engagement qui étant désormais la responsabilité du pépiniériste dans le taux de mortalité des plants jusque dans les plantations alors que cette responsabilité « s’arrêtait bord pépinière ».
« Nous avons demandé que la vérité soit refaite », a fait savoir Traoré Mamadou.
Il a revendiqué aussi la place d’interlocuteur privilégié que devrait avoir le COPPHECI auprès de la faîtière du secteur, l’APROMAC (association des professionnels du caoutchouc naturel de Côte d’Ivoire).
Forte d’environ 250 membres, l’organisation des pépiniéristes a plaidé au cours des travaux de Yamoussoukro pour une franche collaboration entre tous les acteurs de la chaîne des valeurs afin que chacun y tire son compte.
gso/tm
« Nous pensons que nous avons atteint une certaine maturité qui nous permet de rassembler tous les membres afin de chercher les solutions à nos préoccupations qui sont celles de notre valorisation au niveau de la filière hévéa », a déclaré le président du COPPHECI, Traoré Mamadou qui justifiait la tenue de la rencontre.
Ainsi les pépiniéristes ont dans un premier temps acté la volonté de redynamiser les 18 sections de base de leur organisation avant d’émettre des objections sur un document qu’ils ont jugé important dans leurs rapports avec les autres acteurs qui interviennent dans le secteur.
Il s’agit de la fiche d’engagement qui étant désormais la responsabilité du pépiniériste dans le taux de mortalité des plants jusque dans les plantations alors que cette responsabilité « s’arrêtait bord pépinière ».
« Nous avons demandé que la vérité soit refaite », a fait savoir Traoré Mamadou.
Il a revendiqué aussi la place d’interlocuteur privilégié que devrait avoir le COPPHECI auprès de la faîtière du secteur, l’APROMAC (association des professionnels du caoutchouc naturel de Côte d’Ivoire).
Forte d’environ 250 membres, l’organisation des pépiniéristes a plaidé au cours des travaux de Yamoussoukro pour une franche collaboration entre tous les acteurs de la chaîne des valeurs afin que chacun y tire son compte.
gso/tm