Les travaux de construction du port sec de Ferkessédougou seront officiellement lancés, vendredi 21 mai 2021, à Dékokaha, rapporte une note du ministère délégué auprès du ministère d’Etat, ministère des Affaires Etrangères, de l’Intégration africaine et de la Diaspora chargé de l’Intégration africaine, dont copie a été transmise à l’AIP.
Cet événement se tiendra en présence du ministre d’Etat, ministre de la Défense, Téné Birahima Ouattara, du ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Kobenan Kouassi Adjoumani.
Retenu comme prioritaire dans le cadre du deuxième Programme économique régional (PER) de l’UEMOA, ce projet fournira de l’emploi à près de 71 000 personnes. Il s’agit d’un investissement de 303 milliards FCFA (461 millions EUR) dont 50% seront mobilisés par des privés.
Les infrastructures comporteront principalement, une plateforme logistique (entrepôts, chaîne de froid, etc.), un dépôt d’hydrocarbures, un abattoir régional et un marché à bétail ainsi qu'une zone industrielle pour le développement des activités de transformation des produits agricoles et miniers.
Prévus sur une superficie de 732 ha, les travaux du premier lot, livrables dans trois à quatre ans, vont nécessiter 254 milliards FCFA, indique-t-on.
Ce port sec, qui sera mis sous concession, contribuera en outre à dynamiser et consolider les acquis du transport ferroviaire à destination des pays de l’hinterland, à mettre en valeur les potentialités économiques des districts des Savanes et du Zanzan, et à tirer profit des potentialités économiques des régions frontalières de Sikasso au Mali et Bobo-Dioulasso au Burkina Faso.
(AIP)
gak/ask
Cet événement se tiendra en présence du ministre d’Etat, ministre de la Défense, Téné Birahima Ouattara, du ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, Kobenan Kouassi Adjoumani.
Retenu comme prioritaire dans le cadre du deuxième Programme économique régional (PER) de l’UEMOA, ce projet fournira de l’emploi à près de 71 000 personnes. Il s’agit d’un investissement de 303 milliards FCFA (461 millions EUR) dont 50% seront mobilisés par des privés.
Les infrastructures comporteront principalement, une plateforme logistique (entrepôts, chaîne de froid, etc.), un dépôt d’hydrocarbures, un abattoir régional et un marché à bétail ainsi qu'une zone industrielle pour le développement des activités de transformation des produits agricoles et miniers.
Prévus sur une superficie de 732 ha, les travaux du premier lot, livrables dans trois à quatre ans, vont nécessiter 254 milliards FCFA, indique-t-on.
Ce port sec, qui sera mis sous concession, contribuera en outre à dynamiser et consolider les acquis du transport ferroviaire à destination des pays de l’hinterland, à mettre en valeur les potentialités économiques des districts des Savanes et du Zanzan, et à tirer profit des potentialités économiques des régions frontalières de Sikasso au Mali et Bobo-Dioulasso au Burkina Faso.
(AIP)
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