Bouaké - La journée internationale de lutte contre l’homophobie, la transphobie et la biphobie a été célébrée samedi 22 mai 2021 à Bouaké autour du sport, notamment, un match de football opposant l’équipe des LGBTI et le reste de la population au complexe sportive de la SICOGI.
En commémorant cette journée, l’ONG Secours social entendait contribuer à briser le lien de discrimination entre les communautés LGBTI et les autres populations, rapprocher ces deux groupes de populations et susciter un regard nouveau dans leurs rapports.
« L’homophobie tue. Alors célébrer cette journée, c’est briser la barrière entre la communauté LBGTI et les populations générales parce qu’une fois qu’on se fréquente les barrières tombent alors que quand il n’y a pas de fréquentation entre les communautés les rapports sont difficiles », a expliqué le directeur exécutif de cette organisation non gouvernementale, Gnizako Lago Lucien.
« Cette journée vient à point nommé pour appuyer les actions de sensibilisation que nous menons sur le terrain. Nous voulons amener les populations à écouter les membres de la communauté LGBTI parce que quand ces personnes sont rejetées elles s’abandonnent, perdent l’estime de soi et font une dépression. Il faudrait donc que nous arrivions à briser cette barrière », a indiqué pour sa part le chargé de communication de l’ONG, Sylvain Faithè.
Il a également justifié le choix du sport pour meubler le programme de cette célébration. « On s’est dit qu’avec le sport, qui est un facteur de rapprochement on pourra rassembler deux entités, notamment, les membres de la communauté LGBTI et la population pour changer la vision de cette population vis-à-vis des lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres et intersexes (LGBTI) et de créer un lien de fraternité et de cohésion pour qu’on puisse briser la stigmatisation », a fait savoir M. Faithè.
La journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie est célébrée tous les 17 mai. Cette journée a pour but de promouvoir des actions de sensibilisation et de prévention pour lutter contre l’homophobie, la lesbophobie, la biphobie et la transphobie. Elle vise également à commémorer la décision de l’OMS du 17 mai 1990 de ne plus considérer l’homosexualité comme une maladie mentale.
rkk
En commémorant cette journée, l’ONG Secours social entendait contribuer à briser le lien de discrimination entre les communautés LGBTI et les autres populations, rapprocher ces deux groupes de populations et susciter un regard nouveau dans leurs rapports.
« L’homophobie tue. Alors célébrer cette journée, c’est briser la barrière entre la communauté LBGTI et les populations générales parce qu’une fois qu’on se fréquente les barrières tombent alors que quand il n’y a pas de fréquentation entre les communautés les rapports sont difficiles », a expliqué le directeur exécutif de cette organisation non gouvernementale, Gnizako Lago Lucien.
« Cette journée vient à point nommé pour appuyer les actions de sensibilisation que nous menons sur le terrain. Nous voulons amener les populations à écouter les membres de la communauté LGBTI parce que quand ces personnes sont rejetées elles s’abandonnent, perdent l’estime de soi et font une dépression. Il faudrait donc que nous arrivions à briser cette barrière », a indiqué pour sa part le chargé de communication de l’ONG, Sylvain Faithè.
Il a également justifié le choix du sport pour meubler le programme de cette célébration. « On s’est dit qu’avec le sport, qui est un facteur de rapprochement on pourra rassembler deux entités, notamment, les membres de la communauté LGBTI et la population pour changer la vision de cette population vis-à-vis des lesbiennes, gays, bisexuels, transgenres et intersexes (LGBTI) et de créer un lien de fraternité et de cohésion pour qu’on puisse briser la stigmatisation », a fait savoir M. Faithè.
La journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie est célébrée tous les 17 mai. Cette journée a pour but de promouvoir des actions de sensibilisation et de prévention pour lutter contre l’homophobie, la lesbophobie, la biphobie et la transphobie. Elle vise également à commémorer la décision de l’OMS du 17 mai 1990 de ne plus considérer l’homosexualité comme une maladie mentale.
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