Le Pr Lasme-Guillao, chef du service de pédiatrie néonatologie du Centre hospitalier universitaire (Chu) de Yopougon, a expliqué que l’Unité de néphrologie pédiatrique (Unp) a pour mission d’apporter des soins aux enfants qui souffrent de maladies rénales. Elle a aussi un rôle d’éducation thérapeutique parce que plusieurs maladies rénales peuvent être prévenir par une sensibilisation, une éducation des populations.
Elle a mis un accent sur la prévention. Pour elle, l’hypertension, le diabète sont des maladies susceptibles d’atteindre le rein par la suite. C’est pourquoi elle invite au dépistage précoce des enfants. Le suivi des drépanocytaires doit être également fait parce que la drépanocytose peut entraîner chez certains enfants l’insuffisance rénale.
Les difficultés
La prise en charge de l’insuffisance rénale aigue et chronique est la plus épineuse, mentionne-t-elle. Pour ceux atteints d’insuffisance rénale aigue, ils peuvent recouvrer la santé après six (6) séances d’hémodialyse. Par contre l’insuffisance rénale chronique, ce sont des dialyses à vie que doit effectuer le patient.
Une dialyse coûte 80 000 FCfa en raison de trois (3) par semaine. Cela fait beaucoup d’argent pour une population qui n’est pas toujours nantie. C’est pourquoi elle invite les autorités à intervenir pour permettre aux parents de souffler un tant soit peu. Elle a souhaité que l’« Etat prenne l’hémodialyse des enfants en charge au même titre que celles des adultes ».
Le Pr Lasme a indiqué que l’Unité est dotée d’infrastructures, de personnel de qualité et qualifié, mais il y a le manque de certains équipements pour ouvrir l’hospitalisation. Ladite hospitalisation permettrait la prise en charge des enfants qui normalement devraient être internés en Unité de néphrologie et qui sont hospitalisés dans les unités des Chu. Pour elle, cela pose un problème puisque les spécialistes en la matière se trouvent au sein de l’Unité délocalisée à Adjamé.
Aussi a-t-elle tenu à préciser que l’Unité accueille en moyenne 400 malades par an.
Elle a mis un accent sur la prévention. Pour elle, l’hypertension, le diabète sont des maladies susceptibles d’atteindre le rein par la suite. C’est pourquoi elle invite au dépistage précoce des enfants. Le suivi des drépanocytaires doit être également fait parce que la drépanocytose peut entraîner chez certains enfants l’insuffisance rénale.
Les difficultés
La prise en charge de l’insuffisance rénale aigue et chronique est la plus épineuse, mentionne-t-elle. Pour ceux atteints d’insuffisance rénale aigue, ils peuvent recouvrer la santé après six (6) séances d’hémodialyse. Par contre l’insuffisance rénale chronique, ce sont des dialyses à vie que doit effectuer le patient.
Une dialyse coûte 80 000 FCfa en raison de trois (3) par semaine. Cela fait beaucoup d’argent pour une population qui n’est pas toujours nantie. C’est pourquoi elle invite les autorités à intervenir pour permettre aux parents de souffler un tant soit peu. Elle a souhaité que l’« Etat prenne l’hémodialyse des enfants en charge au même titre que celles des adultes ».
Le Pr Lasme a indiqué que l’Unité est dotée d’infrastructures, de personnel de qualité et qualifié, mais il y a le manque de certains équipements pour ouvrir l’hospitalisation. Ladite hospitalisation permettrait la prise en charge des enfants qui normalement devraient être internés en Unité de néphrologie et qui sont hospitalisés dans les unités des Chu. Pour elle, cela pose un problème puisque les spécialistes en la matière se trouvent au sein de l’Unité délocalisée à Adjamé.
Aussi a-t-elle tenu à préciser que l’Unité accueille en moyenne 400 malades par an.