L’Ambassade du Royaume d’Espagne et la Fondation Amadou Hampaté Ba ont offert un spectacle le 11 juin 2021 dans l’enceinte de la résidence de l’ambassadeur. Il s’agissait pour les initiateurs de célébrer le dialogue interreligieux en contribuant entre autres à une meilleure connaissance et compréhension mutuelle entre peuples africain et espagnol.
"Cette activité est le prolongement des actions entreprises par l’Ambassade du Royaume d’Espagne établit en Côte d’Ivoire pour la promotion d’un dialogue harmonieux entre les cultures africaines et espagnoles et fait suite au succès de la soirée intitulée Le dialogue interculturel et l’humour, une source de Paix, organisée le jeudi 19 novembre 2020 à la Fondation Amadou Hampaté Ba" a fait savoir l’ambassadeur Ricardo Lopez Aranda-Jagu . Le spectacle proposé par Alma Production avec à sa tête Luis Marquès, est une invitation au voyage à travers les religions et les âges. De l’animisme au Judaïsme en passant par le christianisme à L’islam, la representation propose les plus belles expressions poétiques et musicales de ses différentes réligions."Cest un bain de spiritualité et d’harmonie, destiné aussi bien à « ceux qui croient » qu’à « ceux qui ne croient pas »" précise Luis Marquès, producteur et metteur en scène. Roukiatou Ba, premiere responsable de la Fondation Amadou Hampaté Ba s’est félicitée de cette initiative de l’ambassade d’Espagne. "Ce genre d’évenement contribue à péréniser l’héritage de l’illustre écrivain et de sa philosophie" a noté Roukiatou Ba.
Sur fond de guitare orientale, de kora Mandingue, de flute Peulh et portés par les voix de Monica Manaker, Rebecca Compaoré, Missa Ndri des des etudiants de l’Insaac, les textes tantôt soutenus, tantôt soutenus avec des chants et des musiques évoquent une élévation spirituelle. Surgissant des lianes du figuiers géant, un chant de louanges sacré bété ouvre les esprits des spectatteurs aux enseignements universels de Tierno Bokar. D’entre les arbres centenaires du jardin de la résidence de l’ambassadeur, un poème médiéval espagnol de Saint Jean de la Croix fait écho à un chant religieux Juif Séfarade en ladino.Les doutes de Miguel de Unamuno sont mis en abîme, par une musique sacrée du Vatican, revisitée par des voix polyphoniques africaines.
D’éminentes personnalités de la sphère politique, diplomatiques, universitaires et de société civile ont pris part à cette rencontre culturelle.
DA
"Cette activité est le prolongement des actions entreprises par l’Ambassade du Royaume d’Espagne établit en Côte d’Ivoire pour la promotion d’un dialogue harmonieux entre les cultures africaines et espagnoles et fait suite au succès de la soirée intitulée Le dialogue interculturel et l’humour, une source de Paix, organisée le jeudi 19 novembre 2020 à la Fondation Amadou Hampaté Ba" a fait savoir l’ambassadeur Ricardo Lopez Aranda-Jagu . Le spectacle proposé par Alma Production avec à sa tête Luis Marquès, est une invitation au voyage à travers les religions et les âges. De l’animisme au Judaïsme en passant par le christianisme à L’islam, la representation propose les plus belles expressions poétiques et musicales de ses différentes réligions."Cest un bain de spiritualité et d’harmonie, destiné aussi bien à « ceux qui croient » qu’à « ceux qui ne croient pas »" précise Luis Marquès, producteur et metteur en scène. Roukiatou Ba, premiere responsable de la Fondation Amadou Hampaté Ba s’est félicitée de cette initiative de l’ambassade d’Espagne. "Ce genre d’évenement contribue à péréniser l’héritage de l’illustre écrivain et de sa philosophie" a noté Roukiatou Ba.
Sur fond de guitare orientale, de kora Mandingue, de flute Peulh et portés par les voix de Monica Manaker, Rebecca Compaoré, Missa Ndri des des etudiants de l’Insaac, les textes tantôt soutenus, tantôt soutenus avec des chants et des musiques évoquent une élévation spirituelle. Surgissant des lianes du figuiers géant, un chant de louanges sacré bété ouvre les esprits des spectatteurs aux enseignements universels de Tierno Bokar. D’entre les arbres centenaires du jardin de la résidence de l’ambassadeur, un poème médiéval espagnol de Saint Jean de la Croix fait écho à un chant religieux Juif Séfarade en ladino.Les doutes de Miguel de Unamuno sont mis en abîme, par une musique sacrée du Vatican, revisitée par des voix polyphoniques africaines.
D’éminentes personnalités de la sphère politique, diplomatiques, universitaires et de société civile ont pris part à cette rencontre culturelle.
DA