Abidjan - Les acteurs clés de l’exportation notamment, les présidents, rapporteurs et experts des six filières prioritaires de la stratégie nationale d’exportation (SNE) revisitent ses acquis et difficultés en vue de l’élaboration d’une nouvelle stratégie répondant aux défis actuels nés de la pandémie de la COVID 19 et de la mise en œuvre de la Zone de libres échanges (Zelecaf).
Un atelier bilan sur l’état d’avancement des projets/programmes de la SNE de 2017 à ce jour a été organisé par le Conseil national de l’exportation (CNE), vendredi 11 juin 2021, à Grand-Bassam. Il se tient avec l’appui de l’Union européenne (UE) dans le cadre du Programme d’appui à la compétitivité et à l’intégration régionale (PACIR2), doté d’un fonds de 262,3 millions de francs CFA.
Les acteurs clés des chaînes de valeur devront, lors des travaux, collecter les nouvelles problématiques propres à chaque filière, contribuer à la mise en œuvre et à l’animation d’un cadre d’échanges et de concertation au niveau interprofessionnel.
Ils ont enfin la charge d’harmoniser et dégager des pistes de solutions dont les recommandations serviront d’ébauche à la nouvelle SNE, a expliqué le secrétaire général du CNE, Serge Martial Bombo, qui souhaite une stratégie qui maximise le potentiel des produits ivoiriens à l’export.
Pour le directeur général du commerce extérieur, Kaladji Fadiga, la nouvelle stratégie doit s’inscrire dans les ambitions du gouvernement définies par le Plan national de développement (PND). Il s’agit de la transformation structurelle de l’économie avec une politique axée sur l’exportation de produits finis, de la création d’emplois pour les jeunes et les femmes et aussi de l’intégration des PME dans la politique d’exportation avec des produits et des marchés diversifiés.
Pour réaliser les objectifs qu’elle s’est fixés, la SNE s’appuie sur six secteurs prioritaires ayant un fort potentiel à l’exportation et une capacité à contribuer au développement de la Côte d’Ivoire. Il s’agit des filières anacarde, coton textile et habillement, fruit tropicaux, caoutchouc et plastiques, manioc et dérives, les technologies de l’information et de la communication.
La SNE a cinq fonctions transversales à savoir favoriser l’accès au financement, développer des compétences à l’exportation, gérer la qualité et l’emballage des produit, promouvoir et informer, faciliter les échanges.
tad/fmo
Un atelier bilan sur l’état d’avancement des projets/programmes de la SNE de 2017 à ce jour a été organisé par le Conseil national de l’exportation (CNE), vendredi 11 juin 2021, à Grand-Bassam. Il se tient avec l’appui de l’Union européenne (UE) dans le cadre du Programme d’appui à la compétitivité et à l’intégration régionale (PACIR2), doté d’un fonds de 262,3 millions de francs CFA.
Les acteurs clés des chaînes de valeur devront, lors des travaux, collecter les nouvelles problématiques propres à chaque filière, contribuer à la mise en œuvre et à l’animation d’un cadre d’échanges et de concertation au niveau interprofessionnel.
Ils ont enfin la charge d’harmoniser et dégager des pistes de solutions dont les recommandations serviront d’ébauche à la nouvelle SNE, a expliqué le secrétaire général du CNE, Serge Martial Bombo, qui souhaite une stratégie qui maximise le potentiel des produits ivoiriens à l’export.
Pour le directeur général du commerce extérieur, Kaladji Fadiga, la nouvelle stratégie doit s’inscrire dans les ambitions du gouvernement définies par le Plan national de développement (PND). Il s’agit de la transformation structurelle de l’économie avec une politique axée sur l’exportation de produits finis, de la création d’emplois pour les jeunes et les femmes et aussi de l’intégration des PME dans la politique d’exportation avec des produits et des marchés diversifiés.
Pour réaliser les objectifs qu’elle s’est fixés, la SNE s’appuie sur six secteurs prioritaires ayant un fort potentiel à l’exportation et une capacité à contribuer au développement de la Côte d’Ivoire. Il s’agit des filières anacarde, coton textile et habillement, fruit tropicaux, caoutchouc et plastiques, manioc et dérives, les technologies de l’information et de la communication.
La SNE a cinq fonctions transversales à savoir favoriser l’accès au financement, développer des compétences à l’exportation, gérer la qualité et l’emballage des produit, promouvoir et informer, faciliter les échanges.
tad/fmo