Un séminaire intermédiaire de présentation des premiers résultats de la convention de financement relative au programme d’appui au secteur vivrier de Côte d’Ivoire (PASV-CI) a conclu à la nécessité de redynamiser l’action de ses trois principaux acteurs en vue d’une poursuite « plus efficiente » du programme.
La mise en œuvre du PASV-CI a été confiée dans la pratique au FIRCA ( fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole) par le biais d’un contrat de subvention, le ministère de l’agriculture et du développement rural et l’OCPV (office d’aide à la commercialisation des produits vivriers) à travers un devis-programme, rappelle-t-on.
L’ambassadeur de l’UE en Côte d’Ivoire, Jobst von Kirchmann, qui note quelques retards dans l’exécution du programme a invité tous les acteurs à « faire un effort pour accélérer le projet » lors de la cérémonie d’ouverture de la rencontre qui s’est tenue jeudi 17 juin 2021 à Yamoussoukro.
Dans le cadre du 11eme FED, la Côte d’Ivoire bénéficie d’un soutien financier de l’UE estimé à 13 milliards f cfa.
Cet appui vise le renforcement de la sécurité alimentaire à travers la modernisation, la professionnalisation et l’amélioration des performances économiques des filières vivrières notamment les filières maraichères et manioc.
« C’est un projet important, un projet qui entre dans la logique de l’Union Européenne », a poursuivi Jobst von Kirchmann.
Au terme de cinq années d’exécution, le programme affiche quelques résultats globalement jugés satisfaisants par la partie ivoirienne.
Pour la filière maraichère, 11 serres dont une pédagogique, destinées à la production maraichère sous serre sont opérationnelles.
Des travaux d’aménagement et de réhabilitation de 65 sites sont en cours pour la production maraichère plein champs.
Concernant la filière manioc, c’est toute la chaine des valeurs, production, transformation et commercialisation qui a été ciblée. Tous ont bénéficié d’un appui en logistique, équipement et infrastructures.
(AIP)
La mise en œuvre du PASV-CI a été confiée dans la pratique au FIRCA ( fonds interprofessionnel pour la recherche et le conseil agricole) par le biais d’un contrat de subvention, le ministère de l’agriculture et du développement rural et l’OCPV (office d’aide à la commercialisation des produits vivriers) à travers un devis-programme, rappelle-t-on.
L’ambassadeur de l’UE en Côte d’Ivoire, Jobst von Kirchmann, qui note quelques retards dans l’exécution du programme a invité tous les acteurs à « faire un effort pour accélérer le projet » lors de la cérémonie d’ouverture de la rencontre qui s’est tenue jeudi 17 juin 2021 à Yamoussoukro.
Dans le cadre du 11eme FED, la Côte d’Ivoire bénéficie d’un soutien financier de l’UE estimé à 13 milliards f cfa.
Cet appui vise le renforcement de la sécurité alimentaire à travers la modernisation, la professionnalisation et l’amélioration des performances économiques des filières vivrières notamment les filières maraichères et manioc.
« C’est un projet important, un projet qui entre dans la logique de l’Union Européenne », a poursuivi Jobst von Kirchmann.
Au terme de cinq années d’exécution, le programme affiche quelques résultats globalement jugés satisfaisants par la partie ivoirienne.
Pour la filière maraichère, 11 serres dont une pédagogique, destinées à la production maraichère sous serre sont opérationnelles.
Des travaux d’aménagement et de réhabilitation de 65 sites sont en cours pour la production maraichère plein champs.
Concernant la filière manioc, c’est toute la chaine des valeurs, production, transformation et commercialisation qui a été ciblée. Tous ont bénéficié d’un appui en logistique, équipement et infrastructures.
(AIP)