Les structures publiques et privées ont pris part ce mercredi 23 juin 2021, à la Maison de l’Entreprise, Abidjan-Plateau, à une rencontre d’échanges sur la Zone de Libre-Échange Continentale Africaine (ZLECAF).
Cette rencontre est initiée par le Secrétariat Exécutif du Comité National de la ZLECAF (CN-ZLECAF) en collaboration avec le Confédération Générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI). Elle a pour objectif d’informer les structures sur l’Accord et son contenu, le processus de négociation en cours, la stratégie nationale et l’état de mise en œuvre au niveau national.
Pour Stéphane Aka-Anghui, Directeur Exécutif de la CGECI, cette rencontre vient à point nommé. Il s’agit de « porter à l’attention des opérateurs économiques le contenu de l’accord et d’expliquer les produits vont circuler librement, comment les droits de douanes vont être éliminé progressivement et les règles que ces produits doivent satisfaire. », a-t-il expliqué. Avant de souligner que « Nous Confédération Générale, il est important que nous préparions nos membres ».
Ouvrant la série des présentations, Mme Fatoumata Fofana, Secrétaire Exécutif de la CN-ZLECAF a indiqué que le comité national travail, prépare les négociations et est responsable de la mise en œuvre.
« Pour que la mise en œuvre soit effective, il faut que tout le monde soit impliqué dans le processus, sensibilisé et formé suffisamment afin de tirer parti de cet accord. (…) Et s’assurer que les postes de contrôles aux frontières soient sensibilisés », a ajouté Mme Fofana.
Successivement, Col. Gnakale Charles, chef de Bureau des Poursuites à la Douane de CI et Cdt. Tia N’Dri Yves, Chef de Bureau Règles d’origine, Douane CI ont instruit les participants sur les thèmes suivants: « les offres d’accès au marché des différents pays Africains » et « les règles d’origine ».
La ZLECAF a pour but d’aboutir à la libéralisation du marché des biens et services en Afrique à l’élimination des barrières tarifaires et non tarifaire au commerce, à la mise en place d’un mécanisme de règlement des différends commerciaux entre États et d’un cadre institutionnel et gestion du commerce intra-africain.
La mise en œuvre de la Zone de Libre-échange Continentale Africaine est entrée dans sa phase opérationnelle depuis le 1er janvier 2021 avec le démarrage effectif des échanges commerciaux. A ce jour, 54 États sur les 55 que compte le continent sont signataire de l’accord.
CT
Cette rencontre est initiée par le Secrétariat Exécutif du Comité National de la ZLECAF (CN-ZLECAF) en collaboration avec le Confédération Générale des entreprises de Côte d’Ivoire (CGECI). Elle a pour objectif d’informer les structures sur l’Accord et son contenu, le processus de négociation en cours, la stratégie nationale et l’état de mise en œuvre au niveau national.
Pour Stéphane Aka-Anghui, Directeur Exécutif de la CGECI, cette rencontre vient à point nommé. Il s’agit de « porter à l’attention des opérateurs économiques le contenu de l’accord et d’expliquer les produits vont circuler librement, comment les droits de douanes vont être éliminé progressivement et les règles que ces produits doivent satisfaire. », a-t-il expliqué. Avant de souligner que « Nous Confédération Générale, il est important que nous préparions nos membres ».
Ouvrant la série des présentations, Mme Fatoumata Fofana, Secrétaire Exécutif de la CN-ZLECAF a indiqué que le comité national travail, prépare les négociations et est responsable de la mise en œuvre.
« Pour que la mise en œuvre soit effective, il faut que tout le monde soit impliqué dans le processus, sensibilisé et formé suffisamment afin de tirer parti de cet accord. (…) Et s’assurer que les postes de contrôles aux frontières soient sensibilisés », a ajouté Mme Fofana.
Successivement, Col. Gnakale Charles, chef de Bureau des Poursuites à la Douane de CI et Cdt. Tia N’Dri Yves, Chef de Bureau Règles d’origine, Douane CI ont instruit les participants sur les thèmes suivants: « les offres d’accès au marché des différents pays Africains » et « les règles d’origine ».
La ZLECAF a pour but d’aboutir à la libéralisation du marché des biens et services en Afrique à l’élimination des barrières tarifaires et non tarifaire au commerce, à la mise en place d’un mécanisme de règlement des différends commerciaux entre États et d’un cadre institutionnel et gestion du commerce intra-africain.
La mise en œuvre de la Zone de Libre-échange Continentale Africaine est entrée dans sa phase opérationnelle depuis le 1er janvier 2021 avec le démarrage effectif des échanges commerciaux. A ce jour, 54 États sur les 55 que compte le continent sont signataire de l’accord.
CT