Des leaders des organisations de la société civile de Man ont renforcé du vendredi 25 au samedi 26 juin 2021, leurs capacités sur la gestion des finances publiques, en vue d’un contrôle citoyen.
« Cet atelier a pour objectif de renforcer les capacités des organisations de la société civile pour une meilleure participation dans la gestion des finances publiques, surtout au niveau local », a expliqué la coordonnatrice du projet, Touré Fatima
Cette rencontre de deux jours est à l’initiative de l’Ong Action pour la protection des droits de l’homme en Côte d’Ivoire (APDH), avec le soutien financier de la fondation allemande Konrad Adenauer et de l’Union européenne.
La formation a eu lieu dans le cadre de la mise en œuvre du projet dénommé « Finances publiques, notre affaire à tous », qui a une durée de deux ans.
« Au sortir de cet atelier, nous attendons des acteurs de la société civile un peu plus d’actions auprès des mairies et des conseils régionaux, et même de l’administration, pour le suivi des dépenses publiques, et qu’ils puissent faire des propositions auprès de ces administrations pour améliorer les conditions des populations de leurs localités respectives », a ajouté Mme Touré.
(AIP)
amak/ask
« Cet atelier a pour objectif de renforcer les capacités des organisations de la société civile pour une meilleure participation dans la gestion des finances publiques, surtout au niveau local », a expliqué la coordonnatrice du projet, Touré Fatima
Cette rencontre de deux jours est à l’initiative de l’Ong Action pour la protection des droits de l’homme en Côte d’Ivoire (APDH), avec le soutien financier de la fondation allemande Konrad Adenauer et de l’Union européenne.
La formation a eu lieu dans le cadre de la mise en œuvre du projet dénommé « Finances publiques, notre affaire à tous », qui a une durée de deux ans.
« Au sortir de cet atelier, nous attendons des acteurs de la société civile un peu plus d’actions auprès des mairies et des conseils régionaux, et même de l’administration, pour le suivi des dépenses publiques, et qu’ils puissent faire des propositions auprès de ces administrations pour améliorer les conditions des populations de leurs localités respectives », a ajouté Mme Touré.
(AIP)
amak/ask