À la tête du Réseau des chambres des experts européens de développement économique (RCEEDE), dont le siège se trouve à Bruxelles (Belgique), Marcel Kouamenan Kouadio mène depuis 2011 des actions sociales en faveur de populations défavorisées à travers le monde. Particulièrement dans son pays d’origine, la Côte d’Ivoire. Sa principale mission ? Aider les populations indigentes.
Diasporas-News : Le RCEEDE existe officiellement depuis 2011. Comment est-il né et quelles sont ses motivations ?
Marcel Kouamenan Kouadio : Le RCEEDE existe depuis septembre 2011. C’est une ONG belge créée à Bruxelles avec pour objectif l’entre-aide par l’humanitaire et le social pour améliorer les conditions de vie de populations en situation précaires dans les différents domaines de la santé, éducation, alimentaire, logement…
D-N : Plusieurs structures sociales existent déjà et le RCEEDE n’est-il pas une structure de trop ?
M.K.K: Le RCEEDE a la particularité d’être avant tout une plateforme de réseau de mise en relation entre les entreprises, les gouvernements et des partenaires de différents secteurs d’activités. L’objectif pour tous, être gagnant-gagnant dans le développement économique et social.
D-N : Vous avez déjà posé des actions sociales et humanitaires en Côte d’Ivoire, en Colombie, à Madagascar, en Guinée-Bissau et au Vietnam. Et vous annoncez pour bientôt un programme humanitaire spécialement dédié à la Côte -d’Ivoire. Qu’avez-vous prévu de faire ?
M.K.K: Nous avons déjà construit des écoles, des centres de santé et distribué des effets scolaires pour plusieurs milliers d’élèves, des kits alimentaires pour des centaines de familles ainsi que des kits d’éclairage solaires. Nous souhaitons mettre en place des centres de formation aux métiers, un accompagnement à la création d’entreprises, soutenir et financer les projets pour développer de manière durable l’autonomie des femmes. Nous voulons contribuer à la lutte contre l’analphabétisation et œuvrer à la protection de l’enfance et de la non-violence au sein des familles.
D-N : Vous participez au développement d’une trentaine de pays, au renforcement des liens mais aussi à l’amélioration de la croissance et à la présentation des opportunités économiques entre les pays. Vos ambitions ne sont-elles pas démesurées ?
M.K.K: Notre réseau comporte plus de 250 représentants implantés dans plus de 120 pays. Cela nous permet de réaliser des actions sur plusieurs secteurs géographiques, en tenant compte des besoins croissants causés par la crise sanitaire COVID-19.
D-N : D’où tirez-vous vos ressources financières pour mener vos activités ?
M.K.K: Nos actions sont financées par l’adhésion, la cotisation de nos membres, par des dons et mécénats de nos bienfaiteurs et surtout la générosité souhaitant participer aux différentes actions avec nos partenaires au sein de notre plateforme de réseau international.
Entretien réalisé par Thomas De Messe Zinsou
Diasporas-News : Le RCEEDE existe officiellement depuis 2011. Comment est-il né et quelles sont ses motivations ?
Marcel Kouamenan Kouadio : Le RCEEDE existe depuis septembre 2011. C’est une ONG belge créée à Bruxelles avec pour objectif l’entre-aide par l’humanitaire et le social pour améliorer les conditions de vie de populations en situation précaires dans les différents domaines de la santé, éducation, alimentaire, logement…
D-N : Plusieurs structures sociales existent déjà et le RCEEDE n’est-il pas une structure de trop ?
M.K.K: Le RCEEDE a la particularité d’être avant tout une plateforme de réseau de mise en relation entre les entreprises, les gouvernements et des partenaires de différents secteurs d’activités. L’objectif pour tous, être gagnant-gagnant dans le développement économique et social.
D-N : Vous avez déjà posé des actions sociales et humanitaires en Côte d’Ivoire, en Colombie, à Madagascar, en Guinée-Bissau et au Vietnam. Et vous annoncez pour bientôt un programme humanitaire spécialement dédié à la Côte -d’Ivoire. Qu’avez-vous prévu de faire ?
M.K.K: Nous avons déjà construit des écoles, des centres de santé et distribué des effets scolaires pour plusieurs milliers d’élèves, des kits alimentaires pour des centaines de familles ainsi que des kits d’éclairage solaires. Nous souhaitons mettre en place des centres de formation aux métiers, un accompagnement à la création d’entreprises, soutenir et financer les projets pour développer de manière durable l’autonomie des femmes. Nous voulons contribuer à la lutte contre l’analphabétisation et œuvrer à la protection de l’enfance et de la non-violence au sein des familles.
D-N : Vous participez au développement d’une trentaine de pays, au renforcement des liens mais aussi à l’amélioration de la croissance et à la présentation des opportunités économiques entre les pays. Vos ambitions ne sont-elles pas démesurées ?
M.K.K: Notre réseau comporte plus de 250 représentants implantés dans plus de 120 pays. Cela nous permet de réaliser des actions sur plusieurs secteurs géographiques, en tenant compte des besoins croissants causés par la crise sanitaire COVID-19.
D-N : D’où tirez-vous vos ressources financières pour mener vos activités ?
M.K.K: Nos actions sont financées par l’adhésion, la cotisation de nos membres, par des dons et mécénats de nos bienfaiteurs et surtout la générosité souhaitant participer aux différentes actions avec nos partenaires au sein de notre plateforme de réseau international.
Entretien réalisé par Thomas De Messe Zinsou