Abidjan - Une trentaine d’acteur nationaux, d’organisations socio-professionnelles de l’économie informelle participent, vendredi 9 juillet 2021, à Grand-Bassam à un atelier sur l’extension des régimes obligatoires de la protection sociale.
Cet atelier vise à renforcer les compétences des acteurs nationaux et à proposer un plan d’action de communication des régimes à l’endroit des travailleurs de l’économie informelle, en vue de promouvoir la Couverture maladie Universelle (CMU) et le Régime de la sécurité sociale des travailleurs indépendants (RSTI).
La spécialiste des principes et des droits fondamentaux au travail, Sophie De Connick, représentant le directeur pays du Bureau international du travail (BIT) a indiqué que « l’investissement dans la protection sociale permet de renforcer le capital humain et contribue au développement social économique ».
Elle a souligné que cet atelier va permettre d’identifier des pistes d’extension à l’économie informelle surtout que, selon elle, la couverture sociale en Afrique ne couvre que seulement 18% de la population et que certains groupes sont exclus.
Le représentant du ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Ayebi Modeste, a, pour sa part, indiqué que le RSTI va permettre au travailleur indépendant de pouvoir bénéficier d’une retraite, et aux femmes d’avoir des indemnités journalières en cas de maternité et pour les victimes d’accidents, de combler les risques de pertes de revenus.
Cet atelier, organisé par le BIT en collaboration avec la Direction générale de la protection sociale, s’inscrit dans le cadre d’un projet financé par l’Union Européenne (UE) intitulé « Synergie entre protection sociale et gestion des finances publiques ».
apk/fmo
Cet atelier vise à renforcer les compétences des acteurs nationaux et à proposer un plan d’action de communication des régimes à l’endroit des travailleurs de l’économie informelle, en vue de promouvoir la Couverture maladie Universelle (CMU) et le Régime de la sécurité sociale des travailleurs indépendants (RSTI).
La spécialiste des principes et des droits fondamentaux au travail, Sophie De Connick, représentant le directeur pays du Bureau international du travail (BIT) a indiqué que « l’investissement dans la protection sociale permet de renforcer le capital humain et contribue au développement social économique ».
Elle a souligné que cet atelier va permettre d’identifier des pistes d’extension à l’économie informelle surtout que, selon elle, la couverture sociale en Afrique ne couvre que seulement 18% de la population et que certains groupes sont exclus.
Le représentant du ministre de l’Emploi et de la Protection sociale, Ayebi Modeste, a, pour sa part, indiqué que le RSTI va permettre au travailleur indépendant de pouvoir bénéficier d’une retraite, et aux femmes d’avoir des indemnités journalières en cas de maternité et pour les victimes d’accidents, de combler les risques de pertes de revenus.
Cet atelier, organisé par le BIT en collaboration avec la Direction générale de la protection sociale, s’inscrit dans le cadre d’un projet financé par l’Union Européenne (UE) intitulé « Synergie entre protection sociale et gestion des finances publiques ».
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