Une mission de la Banque mondiale, conduite par son vice-président pour la région Afrique de l’Ouest et du Centre, Ousmane Diagana, a visité, dimanche 11 juillet 2021 à Sinématiali, les stations de pompage et de traitement d’eau, dans le cadre du suivi des projets financés dans la région du Poro par l’institution internationale.
Ces deux stations ont été construites dans le cadre du projet de renforcement de l’alimentation en eau potable en milieu urbain (PREMU) lancé en février 2021, afin de renforcer l’accès à l’eau potable dans certaines villes du pays, dont Sinématiali, Ferkessédougou et Korhogo. Le PREMU devrait permettre également de renforcer les capacités institutionnelles de l’Office national de l'eau potable (ONEP), maitre d’œuvre du projet.
Au terme de la phase initiale, les résultats « satisfaisants » enregistrés ont permis d’engager des discussions avec le bailleur de fonds en vue d’un financement additionnel pour étendre le projet à un plus grand nombre de villes, a confié, à l’AIP, un membre de la mission.
La première phase du PREMU a consisté à construire une station de traitement de 700 m3 d’eau à l’heure et une bâche de stockage de 3000 m3, à poser 38 km de conduite et à réhabiliter un réservoir de 600 m3/h à Ferkessédougou. En outre, des branchements domestiques à caractère social ont été réalisés.
La deuxième phase qui comprend un volet assainissement, est à un taux d’exécution de 15%. A terme en 2024, il devrait permettre de construire une station de traitement supplémentaire de 800 m3/h, un réservoir de 3000 m3 à Ferkessédougou, 10 km de conduite en fonte et d’étendre le réseau de distribution de 100 km.
Un nombre plus élevé de branchements domestiques à caractère social devrait être réalisé au cours de cette deuxième phase du projet, a-t-on signalé.
(AIP)
Kaem/kp
Ces deux stations ont été construites dans le cadre du projet de renforcement de l’alimentation en eau potable en milieu urbain (PREMU) lancé en février 2021, afin de renforcer l’accès à l’eau potable dans certaines villes du pays, dont Sinématiali, Ferkessédougou et Korhogo. Le PREMU devrait permettre également de renforcer les capacités institutionnelles de l’Office national de l'eau potable (ONEP), maitre d’œuvre du projet.
Au terme de la phase initiale, les résultats « satisfaisants » enregistrés ont permis d’engager des discussions avec le bailleur de fonds en vue d’un financement additionnel pour étendre le projet à un plus grand nombre de villes, a confié, à l’AIP, un membre de la mission.
La première phase du PREMU a consisté à construire une station de traitement de 700 m3 d’eau à l’heure et une bâche de stockage de 3000 m3, à poser 38 km de conduite et à réhabiliter un réservoir de 600 m3/h à Ferkessédougou. En outre, des branchements domestiques à caractère social ont été réalisés.
La deuxième phase qui comprend un volet assainissement, est à un taux d’exécution de 15%. A terme en 2024, il devrait permettre de construire une station de traitement supplémentaire de 800 m3/h, un réservoir de 3000 m3 à Ferkessédougou, 10 km de conduite en fonte et d’étendre le réseau de distribution de 100 km.
Un nombre plus élevé de branchements domestiques à caractère social devrait être réalisé au cours de cette deuxième phase du projet, a-t-on signalé.
(AIP)
Kaem/kp