Abidjan – Le directeur général du Conseil du café-cacao, Koné Brahima Yves, était l’invité de la tribune du Conseil économique, social, environnemental et culturel (CESEC) dénommée ‘’Les grandes rencontres du CESEC’’, rapporte une note d’information de l’organe de régulation de cette filière transmise à l’AIP, mardi 13 juillet 2021.
Se prononçant sur le thème ‘’Le Conseil du Café-Cacao: la durabilité du secteur cacao’’, lundi 12 juillet à la salle des pas perdus du CESEC, M. Koné a fait un rappel historique de l’itinéraire du cacao et son expansion en Côte d’Ivoire avant d’évoquer les perspectives de développement de la filière.
En outre, il a longuement entretenu son auditoire sur la question de la durabilité dans le secteur du cacao sous ses trois composantes (économique, social, environnemental). A ce sujet, il s’est appesanti sur les problématiques de la déforestation liée à la cacao-culture, l’exploitation des enfants dans les plantations de cacao et l’amélioration du revenu des producteurs.
« Si nous devons faire du cacao durable, le producteur qui est à l’origine du cacao doit être bien payé », a-t-il souligné, avant de fustiger les multinationales qui seraient réticentes quant à l’exécution du Différentiel du revenu décent (DRD).
« Nous avons aussi intérêt à développer la transformation, la consommation intérieure et la consommation régionale, nous voulons aussi aller sur le marché et si le COVID19 ne nous avait pas freiné, nous aurions ouvert des bureaux commerciaux en chine, car elle nous a offert un bureau économique pour trois ans, nous allons prendre possession de ce bureau et nous allons faire la promotion de nos produits, nous même dans les pays asiatiques », a-t-il révélé.
Le Conseil du café-cacao au CESEC
Cette conférence tenue lors d’une séance plénière extraordinaire CESEC s’est effectuée en présence du président de l’institution, Dr Eugène Aka Aouélé, du ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, ainsi que du vice-président du Sénat et d’acteurs de la filière.
Le président du CESEC a rappelé le contexte de cette conférence tout en insistant sur la nécessité pour ses collaborateurs d’être instruits sur la politique de développement économique, social, environnemental et culturel des structures en charge de la filière agricole.
Quant au ministre d’Etat, il a souligné que l’Etat ivoirien a pris des mesures incitatives pour favoriser tout opérateur économique désireux d’installer des usines ou d’accroître sa capacité d’usinage.
cmas
Se prononçant sur le thème ‘’Le Conseil du Café-Cacao: la durabilité du secteur cacao’’, lundi 12 juillet à la salle des pas perdus du CESEC, M. Koné a fait un rappel historique de l’itinéraire du cacao et son expansion en Côte d’Ivoire avant d’évoquer les perspectives de développement de la filière.
En outre, il a longuement entretenu son auditoire sur la question de la durabilité dans le secteur du cacao sous ses trois composantes (économique, social, environnemental). A ce sujet, il s’est appesanti sur les problématiques de la déforestation liée à la cacao-culture, l’exploitation des enfants dans les plantations de cacao et l’amélioration du revenu des producteurs.
« Si nous devons faire du cacao durable, le producteur qui est à l’origine du cacao doit être bien payé », a-t-il souligné, avant de fustiger les multinationales qui seraient réticentes quant à l’exécution du Différentiel du revenu décent (DRD).
« Nous avons aussi intérêt à développer la transformation, la consommation intérieure et la consommation régionale, nous voulons aussi aller sur le marché et si le COVID19 ne nous avait pas freiné, nous aurions ouvert des bureaux commerciaux en chine, car elle nous a offert un bureau économique pour trois ans, nous allons prendre possession de ce bureau et nous allons faire la promotion de nos produits, nous même dans les pays asiatiques », a-t-il révélé.
Le Conseil du café-cacao au CESEC
Cette conférence tenue lors d’une séance plénière extraordinaire CESEC s’est effectuée en présence du président de l’institution, Dr Eugène Aka Aouélé, du ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture et du Développement rural, ainsi que du vice-président du Sénat et d’acteurs de la filière.
Le président du CESEC a rappelé le contexte de cette conférence tout en insistant sur la nécessité pour ses collaborateurs d’être instruits sur la politique de développement économique, social, environnemental et culturel des structures en charge de la filière agricole.
Quant au ministre d’Etat, il a souligné que l’Etat ivoirien a pris des mesures incitatives pour favoriser tout opérateur économique désireux d’installer des usines ou d’accroître sa capacité d’usinage.
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