Selon le classement mondial 2024 établi par Reporters sans frontières (RSF), la situation de la liberté de la presse en France est « plutôt bonne ». Toutefois, la vigilance s’impose, sept mois après l’arrestation de la journaliste Ariane Lavrilleux. Une atteinte à la liberté d’informer venue à la suite d’autres et favorisée par la loi Dati qui, trop vague, offre aux autorités une brèche pour réprimer les journalistes et leurs sources.
Le journalisme en France ne se porte pas mal, selon les chiffres de RSF pour l'année 2024, dévoilés ce 3 mai, journée mondiale de la liberté de la presse. En se classant au 21e rang mondial sur 180 pays, la France signe son troisième meilleur résultat, après ses 11e et 19e places en 2002 (sur 139 pays) et 2004... suite de l'article sur RFI