Lors d'une journée porte ouverte organisée le 12 juin au Sofitel hôtel ivoire, le PDG de la Polyclinique Farrah, Walid Zahreddine et le professeur Inza Bamba ont évoqué la question de l'innovation technologique dans le domaine de la santé ainsi que le rôle des ordres de santé dans les conflits patients-praticiens.
Ils ont fait savoir que la clinique Farah a opté pour un système de dossiers médicaux électroniques (DME) pour stocker et gérer les informations médicales de ses patients. Cette solution, selon eux, permet aux médecins et autres professionnels de la santé d'accéder rapidement et facilement à l'historique médical de chaque patient, facilitant ainsi la prise de décisions éclairées et personnalisées.
Parlant des atouts de la clinique Farah, Dr Walid Zahreddine précise que l'une des forces majeures de cette clinique réside dans l'utilisation de l'imagerie médicale qui permet un diagnostic précis et un suivi optimal.
Poursuivant, il a souligné que la clinique Farah s'est dotée d'équipements d'imagerie médicale de pointe, tels que des scanners, des appareils IRM et des échographes. ''Ces outils permettent aux médecins d'établir des diagnostics plus précis et de suivre l'évolution de l'état de santé des patients au fil du temps, contribuant ainsi à une meilleure prise en charge. A cela s'ajoute, la chirurgie robotique : une approche moins invasive et plus efficace.'', confie-t-il.
Le Président Directeur Général de la Polyclinique Farah a aussi expliqué que ''la clinique Farah se distingue comme l'un des rares établissements en Afrique de l'Ouest à proposer la chirurgie robotique.'' Et d'ajouter que ''Cette technologie de pointe permet aux chirurgiens d'effectuer des interventions plus précises et moins invasives, réduisant ainsi les temps de récupération et améliorant les résultats pour les patients.''
Dr Walid Zahreddine a, par ailleurs, énuméré plusieurs autres technologies innovantes dont dispose son établissement médical. Par exemple la télémédecine pour faciliter l'accès aux soins. L'adoption de ces innovations technologiques a, selon lui, permis à la clinique Farah d'améliorer considérablement la qualité des soins prodigués, d'optimiser l'efficacité de ses opérations et de réduire ses coûts. ''La clinique se positionne ainsi comme un modèle d'innovation technologique dans le domaine médical en Afrique de l'Ouest, démontrant le potentiel de ces solutions pour améliorer la santé des populations.'', laisse-t-il entendre.
Pour sa part, le professeur Inza Bamba a instruit sur le domaine complexe des soins de santé, où les interactions délicates entre patients et praticiens constituent l'essence même de l'acte médical. Non sans admettre que des conflits peuvent parfois survenir, assombrissant parfois la quête du bien-être. ''Face à ces désaccords, les ordres de santé émergent comme des phares d'impartialité, offrant un cadre structuré pour la résolution des conflits et la sauvegarde de l'intégrité de la profession médicale.'', soutient-il.
Cyprien K.