Yamoussoukro– La version finale de la plateforme numérique de formation des chefs d’établissements a été validée samedi 16 janvier 2021 à Yamoussoukro par un groupe de 34 experts composé entre autres de représentants du ministère de l’éducation nationale et de la formation professionnelle et du secrétariat exécutif du dispositif IFADEM (l’initiative francophone pour la formation à distance des maîtres ).
Cette adoption survient au terme d’un atelier de quatre jours qui a permis de passer au peigne fin les différentes difficultés relevées au cours d’ une période d’expérimentation de ce nouvel outil de travail des chefs d’établissement.
Les travaux ont également consisté en l’élaboration de modules de formation des encadrants du dispositif des chefs d’établissement.
Avec le dispositif IFADEM la digitalisation gagne peu à peu le secteur public de l’éducation nationale. Ce vent devrait souffler également sur le secteur privé selon le directeur de cabinet adjoint du ministre de l’éducation nationale et de la formation professionnelle, Raoul Koné.
« Au moins 54% des écoliers ont été affectés cette année dans le privé. On ne peut pas les expédier dans ces écoles sans se préoccuper outre mesure de la qualité de ce qui y est servi », a-t-il fait savoir lors de la cérémonie de clôture de l’atelier.
« De plus en plus il faudra qu’on intègre tout ce secteur-là dans nos efforts de formation, formation initiale comme formation continue. Il faut régulièrement impliquer tout ce secteur dans ce que nous faisons avec le secteur public. Par exemple la formation des enseignants doit nous préoccuper davantage », a poursuivi le directeur de cabinet adjoint.
Le projet IFADEM-PAPDES co-pilotée par l’AUF (Agence universitaire de la Francophone) et l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) a démarré ses activités en septembre 2018 et vise l’amélioration de la qualité de l’éducation par le renforcement de la formation des enseignants (10 000 instituteurs, 15 000 directeurs d’école primaire et 1 000 Chefs d’établissement de l’enseignement secondaire).
Le PAPDES est financé par l’Agence française de développement (AFD) à travers le Contrat de désendettement et de développement (C2D-2) dans le cadre d’une convention entre le ministère de l’Éducation nationale et l’AUF.
gso/ask
Cette adoption survient au terme d’un atelier de quatre jours qui a permis de passer au peigne fin les différentes difficultés relevées au cours d’ une période d’expérimentation de ce nouvel outil de travail des chefs d’établissement.
Les travaux ont également consisté en l’élaboration de modules de formation des encadrants du dispositif des chefs d’établissement.
Avec le dispositif IFADEM la digitalisation gagne peu à peu le secteur public de l’éducation nationale. Ce vent devrait souffler également sur le secteur privé selon le directeur de cabinet adjoint du ministre de l’éducation nationale et de la formation professionnelle, Raoul Koné.
« Au moins 54% des écoliers ont été affectés cette année dans le privé. On ne peut pas les expédier dans ces écoles sans se préoccuper outre mesure de la qualité de ce qui y est servi », a-t-il fait savoir lors de la cérémonie de clôture de l’atelier.
« De plus en plus il faudra qu’on intègre tout ce secteur-là dans nos efforts de formation, formation initiale comme formation continue. Il faut régulièrement impliquer tout ce secteur dans ce que nous faisons avec le secteur public. Par exemple la formation des enseignants doit nous préoccuper davantage », a poursuivi le directeur de cabinet adjoint.
Le projet IFADEM-PAPDES co-pilotée par l’AUF (Agence universitaire de la Francophone) et l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) a démarré ses activités en septembre 2018 et vise l’amélioration de la qualité de l’éducation par le renforcement de la formation des enseignants (10 000 instituteurs, 15 000 directeurs d’école primaire et 1 000 Chefs d’établissement de l’enseignement secondaire).
Le PAPDES est financé par l’Agence française de développement (AFD) à travers le Contrat de désendettement et de développement (C2D-2) dans le cadre d’une convention entre le ministère de l’Éducation nationale et l’AUF.
gso/ask