Excellence, Monsieur Henri Konan Bédié, Président du P.D.C.I-R.D.A.
Madame Henriette Bédié,
Distingués membres des instances du P.D.C.I.-R.D.A Mesdames, messieurs,
L'honneur m'échoit, au nom des populations de Bonoua, de vous souhaiter très chaleureusement la bienvenue. Excellence, Monsieur le Président,
En foulant le sol du village natal de Ekra Mathieu, Adiko Niamkey et Jean Baptiste Améthier à qui vous unissent des liens fraternels très fort affermis au fil de nombreuses décennies dans le creuset du P.D.CI-R.D.A, vous êtes bien chez vous. Et c'est donc avec un légitime sentiment de grande fierté que les populations de Bonoua accueillent le frère auréolé de gloire, de prestige et d'honneur et dont le nom rime avec le progrès, le développement et la prospérité. Permettez-moi, Monsieur le Président, de rendre mes hommages déférents à votre épouse discrète et efficace, et dont la générosité du cœur, traduite à travers l'association de bienfaisance SERVIR, permet d'atténuer les détresses et les souffrances de nombreux Ivoiriens. Madame la présidente, les populations de Bonoua vous aiment et vous portent dans les zones les plus nobles de leurs cœurs. Excellence, Monsieur le Président du P.D.C.I.-R.D.A., votre carrière politique si exemplaire, fondée sur la quête du bonheur individuel de vos concitoyens et le progrès de la communauté nationale a permis à la Côte d'Ivoire, jusqu'en 1999, de se hisser au premier rang des pays d'Afrique sub-saharienne. Hélas, le funeste coup d'Etat de décembre 1999 et la gestion hasardeuse des refondateurs ont plongé la Côte d'Ivoire dans la misère et la désespérance.
Ici à Bonoua, nous sommes les témoins de l'insouciance et de l'incompétence du pouvoir F.P.I. En effet, les bureaux de notre Sous-préfecture, naguère expression de la présence rassurante de l'autorité de l'Etat, ravagés par un incendie suspect jamais élucidé, sont à l'abandon, faisant ainsi de la majorité d'entre nous, des sans papiers qui, si rien n'est fait, risquent d'être privés de notre droit d'électeurs. Quant à notre commune, bâtie par les conseils municipaux P.D.C.I.de 1980 à 2000, passée hélas depuis 2001 aux mains du FPI, elle se dégrade d'année en année pour n'offrir désormais que le triste spectacle de ses ruines et de son insalubrité aux visiteurs. En outre, toutes les voies qui conduisent aux différents villages de la Sous-préfecture sont en état de dégradation très avancée. Au plan économique, l'ananas, symbole naguère de notre prospérité, a presque disparu. Pour tout dire, Bonoua, fleuron du développement, est aujourd'hui une localité sinistrée. Tout comme les autres Ivoiriens, nous vivons un état de sursis au quotidien, incapables de faire face aux besoins élémentaires qui confèrent à l'homme la dignité et donnent un sens à la vie : se soigner, se loger, se nourrir, se vêtir et s'instruire décemment. Face à cette misère généralisée, les refondateurs hâtivement enrichis, pillent l'économie et narguent les Ivoiriens par l'insolence de leur mode de vie ostentatoire. Excellence, Monsieur le Président,
Les Ivoiriens qui ont expérimenté avec amertume la vacuité des slogans démagogiques et creux des refondateurs vous réclament afin que vous puissiez leur redonner le sourire et la joie de vivre. Bonoua, solidaire du destin national, est engagé à vos côtés pour mener avec vous, le combat de la renaissance de la Cote d'Ivoire. Et c'est justement pour mettre fin à ce drame national que nous appelons de tous nos vœux, l'organisation des élections cette année afin de vous confier les destinées de la nation. Nous prenons le ferme engagement de vous assurer à Bonoua une confortable majorité aux prochaines élections. Vous pouvez compter sur notre détermination et notre loyauté.
Vive le P.D.C.I.-R.D.A.
Vive le Président Henri Konan Bédié
Vive la Côte d'Ivoire
Je vous remercie
Madame Henriette Bédié,
Distingués membres des instances du P.D.C.I.-R.D.A Mesdames, messieurs,
L'honneur m'échoit, au nom des populations de Bonoua, de vous souhaiter très chaleureusement la bienvenue. Excellence, Monsieur le Président,
En foulant le sol du village natal de Ekra Mathieu, Adiko Niamkey et Jean Baptiste Améthier à qui vous unissent des liens fraternels très fort affermis au fil de nombreuses décennies dans le creuset du P.D.CI-R.D.A, vous êtes bien chez vous. Et c'est donc avec un légitime sentiment de grande fierté que les populations de Bonoua accueillent le frère auréolé de gloire, de prestige et d'honneur et dont le nom rime avec le progrès, le développement et la prospérité. Permettez-moi, Monsieur le Président, de rendre mes hommages déférents à votre épouse discrète et efficace, et dont la générosité du cœur, traduite à travers l'association de bienfaisance SERVIR, permet d'atténuer les détresses et les souffrances de nombreux Ivoiriens. Madame la présidente, les populations de Bonoua vous aiment et vous portent dans les zones les plus nobles de leurs cœurs. Excellence, Monsieur le Président du P.D.C.I.-R.D.A., votre carrière politique si exemplaire, fondée sur la quête du bonheur individuel de vos concitoyens et le progrès de la communauté nationale a permis à la Côte d'Ivoire, jusqu'en 1999, de se hisser au premier rang des pays d'Afrique sub-saharienne. Hélas, le funeste coup d'Etat de décembre 1999 et la gestion hasardeuse des refondateurs ont plongé la Côte d'Ivoire dans la misère et la désespérance.
Ici à Bonoua, nous sommes les témoins de l'insouciance et de l'incompétence du pouvoir F.P.I. En effet, les bureaux de notre Sous-préfecture, naguère expression de la présence rassurante de l'autorité de l'Etat, ravagés par un incendie suspect jamais élucidé, sont à l'abandon, faisant ainsi de la majorité d'entre nous, des sans papiers qui, si rien n'est fait, risquent d'être privés de notre droit d'électeurs. Quant à notre commune, bâtie par les conseils municipaux P.D.C.I.de 1980 à 2000, passée hélas depuis 2001 aux mains du FPI, elle se dégrade d'année en année pour n'offrir désormais que le triste spectacle de ses ruines et de son insalubrité aux visiteurs. En outre, toutes les voies qui conduisent aux différents villages de la Sous-préfecture sont en état de dégradation très avancée. Au plan économique, l'ananas, symbole naguère de notre prospérité, a presque disparu. Pour tout dire, Bonoua, fleuron du développement, est aujourd'hui une localité sinistrée. Tout comme les autres Ivoiriens, nous vivons un état de sursis au quotidien, incapables de faire face aux besoins élémentaires qui confèrent à l'homme la dignité et donnent un sens à la vie : se soigner, se loger, se nourrir, se vêtir et s'instruire décemment. Face à cette misère généralisée, les refondateurs hâtivement enrichis, pillent l'économie et narguent les Ivoiriens par l'insolence de leur mode de vie ostentatoire. Excellence, Monsieur le Président,
Les Ivoiriens qui ont expérimenté avec amertume la vacuité des slogans démagogiques et creux des refondateurs vous réclament afin que vous puissiez leur redonner le sourire et la joie de vivre. Bonoua, solidaire du destin national, est engagé à vos côtés pour mener avec vous, le combat de la renaissance de la Cote d'Ivoire. Et c'est justement pour mettre fin à ce drame national que nous appelons de tous nos vœux, l'organisation des élections cette année afin de vous confier les destinées de la nation. Nous prenons le ferme engagement de vous assurer à Bonoua une confortable majorité aux prochaines élections. Vous pouvez compter sur notre détermination et notre loyauté.
Vive le P.D.C.I.-R.D.A.
Vive le Président Henri Konan Bédié
Vive la Côte d'Ivoire
Je vous remercie