Le fait hautement notable actuellement dans le sens de l’unicité des caisses de l’Etat est incontestablement l’implantation du guichet unique automobile à Bouaké. La structure s’est installée dans le bâtiment de la Lonaci, au quartier Commerce. Présent dans la capitale du centre depuis quelques jours, le directeur général de Côte d’Ivoire Logistique, Ndri Kouakou, a supervisé les travaux d’aménagement. On y retrouve tous les services impliqués dans les opérations du guichet unique. A savoir, Côte d’Ivoire Logistique, la douane, les impôts, le ministère du Commerce, le ministère des Transports, le Trésor et la Sicta.
Le directeur général de Côte d’Ivoire logistique explique que c’est à la demande des autorités de l’Etat que le guichet unique ouvre à Bouaké. Sa mission est de traiter la régularisation technique et fiscale des nombreux engins en possession de la population.
Il faut dire qu’à la faveur de l’absence des services des douanes dans le nord, depuis le déclenchement de la crise armée, le marché d’engins à deux roues (motos et mobylettes) a connu un boom sans précèdent dans cette partie du pays. Tout s’est donc passé en dehors des obligations fiscales et douanières. L’ouverture du guichet unique donne ainsi l’occasion aux propriétaires et vendeurs de ces engins de régulariser «leur situation».
En attendant la date fatidique du 2 février, les locaux du guichet unique ont fière allure. Tout le matériel est installé. Le patron des lieux promet que dès la semaine prochaine le personnel sera opérationnel. «Nous attendons juste le top départ officiel pour commencer», dit-il. A partir de cette date, ceux qui sont en possession de voitures ou d’engins à deux roues, pourront se rendre aux différents guichets pour remplir leurs formalités qui s’achèvent par l’immatriculation.
Comme quoi, le guichet unique est véritablement le premier maillon de l’unicité des caisses de l’Etat. C’est d’ailleurs ainsi que le directeur général adjoint des Douanes, Emile Bobia, présente la structure. Pour lui, elle occupe une place importante dans le recouvrement des 40 milliards de francs de recettes fiscales attendus par l’Etat en zone CNO.
A. Hala
Le directeur général de Côte d’Ivoire logistique explique que c’est à la demande des autorités de l’Etat que le guichet unique ouvre à Bouaké. Sa mission est de traiter la régularisation technique et fiscale des nombreux engins en possession de la population.
Il faut dire qu’à la faveur de l’absence des services des douanes dans le nord, depuis le déclenchement de la crise armée, le marché d’engins à deux roues (motos et mobylettes) a connu un boom sans précèdent dans cette partie du pays. Tout s’est donc passé en dehors des obligations fiscales et douanières. L’ouverture du guichet unique donne ainsi l’occasion aux propriétaires et vendeurs de ces engins de régulariser «leur situation».
En attendant la date fatidique du 2 février, les locaux du guichet unique ont fière allure. Tout le matériel est installé. Le patron des lieux promet que dès la semaine prochaine le personnel sera opérationnel. «Nous attendons juste le top départ officiel pour commencer», dit-il. A partir de cette date, ceux qui sont en possession de voitures ou d’engins à deux roues, pourront se rendre aux différents guichets pour remplir leurs formalités qui s’achèvent par l’immatriculation.
Comme quoi, le guichet unique est véritablement le premier maillon de l’unicité des caisses de l’Etat. C’est d’ailleurs ainsi que le directeur général adjoint des Douanes, Emile Bobia, présente la structure. Pour lui, elle occupe une place importante dans le recouvrement des 40 milliards de francs de recettes fiscales attendus par l’Etat en zone CNO.
A. Hala