Après l’atelier tenu récemment à Abidjan, l’Organisation de la société civile d’Afrique francophone (Oscaf), a rendu visite au président du Conseil économique et social. Ce, en vue de lui exprimer sa reconnaissance pour son soutien. Le président Laurent Dona-Fologo, profitant de l’occasion, s’est prononcé sur la sortie de crise. Il a aussi et surtout rendu un vibrant hommage au père fondateur de la Côte d’Ivoire moderne, Félix Houphouet Boigny qui, selon lui, «parlait comme un prophète». Laurent Dona- Fologo a rappelé cette déclaration de l’ancien président : «L’indépendance acquise est une indépendance nominale, politique, sans contenu économique. Il appartient aux jeunes de conquérir l’indépendance économique».
Il a, ensuite, indiqué qu’il croit à l’intégration africaine. Toutes choses qui ont permis à Houphouet, sans une armée équipée, de diriger le pays sans ambages. «Avec ce que Houphouet faisait avec les voisins, aucun rebelle ne pouvait s’organiser dans un pays frère. C’est pourquoi l’intégration est une très bonne chose», a-t-il dit.
A ses hôtes, Fologo a fait remarquer que le monde change. Aussi, a-t-il souligné «qu’il est temps de savoir que rien ne peut se faire sans la société civile».
Selon le président Fologo, «la récente élection de Barack Obama aux Etats-Unis est, pour les Africains, un moment fort du changement du monde. C’est aussi un stimulant, un espoir pour l’Afrique». Il a ajouté : «Le changement est possible. Nous ne devons pas désespérer».
Fologo a soutenu que la Côte d’Ivoire s’éveille. Qu’elle s’ouvre aux autres pays africains. Car, souligne-t-il, «si vous ne formez pas une famille avec les voisins, votre stabilité est précaire».
Laurent Dona- Fologo dit être amoureux de la Côte d’Ivoire quel que soit le Président de la République. Il se félicite des sacrifices que fait l’Oscaf en représentant les pays africains dans des rencontres internationales.
Il a également promis de faire en sorte que le Président Laurent Gbagbo suive ce type de Mouvements. Avant de souhaiter que la crise prenne fin le plus tôt possible pour que l’Oscaf soit soutenue.
A noter que l’Oscaf est une Organisation panafricaine, née grâce à l’appui financier de l’Organisation internationale de la Francophonie (Oif) pour, au dire de sa présidente Ekra Eliane, «défendre, si besoin est, les vues des pays africains».
Emmanuel Kouassi
Il a, ensuite, indiqué qu’il croit à l’intégration africaine. Toutes choses qui ont permis à Houphouet, sans une armée équipée, de diriger le pays sans ambages. «Avec ce que Houphouet faisait avec les voisins, aucun rebelle ne pouvait s’organiser dans un pays frère. C’est pourquoi l’intégration est une très bonne chose», a-t-il dit.
A ses hôtes, Fologo a fait remarquer que le monde change. Aussi, a-t-il souligné «qu’il est temps de savoir que rien ne peut se faire sans la société civile».
Selon le président Fologo, «la récente élection de Barack Obama aux Etats-Unis est, pour les Africains, un moment fort du changement du monde. C’est aussi un stimulant, un espoir pour l’Afrique». Il a ajouté : «Le changement est possible. Nous ne devons pas désespérer».
Fologo a soutenu que la Côte d’Ivoire s’éveille. Qu’elle s’ouvre aux autres pays africains. Car, souligne-t-il, «si vous ne formez pas une famille avec les voisins, votre stabilité est précaire».
Laurent Dona- Fologo dit être amoureux de la Côte d’Ivoire quel que soit le Président de la République. Il se félicite des sacrifices que fait l’Oscaf en représentant les pays africains dans des rencontres internationales.
Il a également promis de faire en sorte que le Président Laurent Gbagbo suive ce type de Mouvements. Avant de souhaiter que la crise prenne fin le plus tôt possible pour que l’Oscaf soit soutenue.
A noter que l’Oscaf est une Organisation panafricaine, née grâce à l’appui financier de l’Organisation internationale de la Francophonie (Oif) pour, au dire de sa présidente Ekra Eliane, «défendre, si besoin est, les vues des pays africains».
Emmanuel Kouassi
