Koné Sanga est le nouveau président de la Fération ivoirienne de volley-ball, depuis samedi dernier. Avec 13 voix sur 16, il a supplanté ses trois adversaires dont le président sortant Konet Jeannot qui a assuré pendant 2 mandats les rênes du volley-ball ivoirien. Aujourd’hui, Koné Sanga incarne le nouvel espoir de la petite famille du volley-ball. C’est pourquoi il est attendu sur plusieurs chantiers.
D’abord, il doit réhabiliter les aires de jeu et les doter de tables, filets et tableaux de scores pour favoriser la décentralisation des compétitions. Ce qui va permettre au volley-ball d’être pratiqué à l’intérieur du pays. Histoire de donner un coup de pouce à la politique de vulgarisation qu’il entend mener durant son mandat. Ensuite, la fédération dirigée par Koné Sanga doit trouver des moyens pour aider les clubs sur le plan financier et matériel, mais surtout dans la formation des encadreurs par des stages. Pour cela, il faut trouver des sponsors et partenaires, l’Etat ne pouvant tout faire seul, vu le nombre croissant des fédérations. La création des ligues et la formation des jeunes (minimes, cadets et juniors) constitueront sans doute le vrai départ du volley-ball ivoirien qui compte en ce moment moins de 180 licenciés. La F.IV.VB doit travailler à améliorer ce chiffre. L’incitation à la pratique du volley-ball dans les lycées et collèges doit être intensifiée. Car depuis toujours les lycées et collèges ont constitué le fer de lance du volley-ball. Cela veut dire aussi qu’il faut inscrire le volley-ball dans les compétitions de l’OISSU comme Koné Sanga le préconise lui-même.
Le beach-volley a besoin de sortir de sa léthargie. Il faut mener une nouvelle stratégie d’approche pour susciter un intérêt à ce type de volley-ball. Par exemple, en répertoriant les aires de jeu et en faisant une campagne de proximité pour amener plus de gens à aimer ou découvrir cette discipline.
Comme on le voit, la nouvelle fédération a beaucoup à faire. Elle a besoin de beaucoup de moyens. Mais avec un peu d’imagination, elle pourrait donner au volley-ball la place qui est la sienne dans le gotha du sport ivoirien.
Ephrem Touboui ephremtouboui@hotmail.fr
D’abord, il doit réhabiliter les aires de jeu et les doter de tables, filets et tableaux de scores pour favoriser la décentralisation des compétitions. Ce qui va permettre au volley-ball d’être pratiqué à l’intérieur du pays. Histoire de donner un coup de pouce à la politique de vulgarisation qu’il entend mener durant son mandat. Ensuite, la fédération dirigée par Koné Sanga doit trouver des moyens pour aider les clubs sur le plan financier et matériel, mais surtout dans la formation des encadreurs par des stages. Pour cela, il faut trouver des sponsors et partenaires, l’Etat ne pouvant tout faire seul, vu le nombre croissant des fédérations. La création des ligues et la formation des jeunes (minimes, cadets et juniors) constitueront sans doute le vrai départ du volley-ball ivoirien qui compte en ce moment moins de 180 licenciés. La F.IV.VB doit travailler à améliorer ce chiffre. L’incitation à la pratique du volley-ball dans les lycées et collèges doit être intensifiée. Car depuis toujours les lycées et collèges ont constitué le fer de lance du volley-ball. Cela veut dire aussi qu’il faut inscrire le volley-ball dans les compétitions de l’OISSU comme Koné Sanga le préconise lui-même.
Le beach-volley a besoin de sortir de sa léthargie. Il faut mener une nouvelle stratégie d’approche pour susciter un intérêt à ce type de volley-ball. Par exemple, en répertoriant les aires de jeu et en faisant une campagne de proximité pour amener plus de gens à aimer ou découvrir cette discipline.
Comme on le voit, la nouvelle fédération a beaucoup à faire. Elle a besoin de beaucoup de moyens. Mais avec un peu d’imagination, elle pourrait donner au volley-ball la place qui est la sienne dans le gotha du sport ivoirien.
Ephrem Touboui ephremtouboui@hotmail.fr
