Le ministre de la Communication s’est rendu hier, au domicile de Diégou Bailly, pour exprimer sa compassion. C’est le jeudi 05 février dernier que la dépouille de Diégou Bailly, en provenance de Tunis, est arrivée à l’aéroport Félix Houphouët Boigny d’Abidjan. Après, hommage accueil, le ministre de la Communication, Ibrahim Sy Savané, s’est rendu personnellement au domicile du défunt pour dire «yako» à la famille éplorée. Il avait à ses côtés, son cabinet, le président par intérim du Conseil national de communication audio-visuelle, Timité Bassori, le directeur général de l’aip Deby Dailly, Eugène Dié Kacou du Conseil national de la presse. C’est ce dernier, qui, au nom du ministre, a présenté les condoléances. «La nouvelle nous a surpris, elle nous a sonnés. Nous sommes dans le chagrin, la douleur ; mais nous demeurons croyants. C’est Dieu qui a rappelé Diégou auprès de lui. Il sait pourquoi il l’a fait en ce moment. Nous nous soumettons donc à lui».
Kpolo Dominique, porte-parole de la famille, par ailleurs président du comité national des obsèques du président Diégou Bailly, a remercié le ministre. Il a exprimé la reconnaissance de la veuve au ministre Sy Savané. Qui n’a pas cessé d’appeler pour s’informer de l’état de santé de Diégou quand il avait été interné dans un hôpital de la place. Il est également venu lui rendre visite. Et même à Tunis, il appelait constamment. Pour toutes ces raisons, elle a tenu à travers le porte-parole à lui dire merci. La reconnaissance de la veuve a été suivie d’un long silence... de méditation, de remémoration. Remémoration d’un moment passé avec Diégou Bailly. Deux photos du défunt veillées par la vierge Marie et la croix de Jésus-christ. Tantôt refusant de cautionner la douleur de sa veuve, ses 4 enfants, sa famille, ses amis et connaissances, tantôt heureux de partir, sur les photos. L’homme voudrait certainement dire à ses proches que de là haut, il est dans l’allégresse du Seigneur. Adieu Diégou, adieu président, que la terre des hommes te soit légère. Ce silence long car douloureux a été interrompu par la voix d’Eugène Dié Kacou pour «demander la route». Mais avant de partir, Ibrahim Sy Savané a écrit sa douleur dans le livre de condoléances posé sur un meuble à l’entrée de la maison.
Marie Chantal Obindé
Kpolo Dominique, porte-parole de la famille, par ailleurs président du comité national des obsèques du président Diégou Bailly, a remercié le ministre. Il a exprimé la reconnaissance de la veuve au ministre Sy Savané. Qui n’a pas cessé d’appeler pour s’informer de l’état de santé de Diégou quand il avait été interné dans un hôpital de la place. Il est également venu lui rendre visite. Et même à Tunis, il appelait constamment. Pour toutes ces raisons, elle a tenu à travers le porte-parole à lui dire merci. La reconnaissance de la veuve a été suivie d’un long silence... de méditation, de remémoration. Remémoration d’un moment passé avec Diégou Bailly. Deux photos du défunt veillées par la vierge Marie et la croix de Jésus-christ. Tantôt refusant de cautionner la douleur de sa veuve, ses 4 enfants, sa famille, ses amis et connaissances, tantôt heureux de partir, sur les photos. L’homme voudrait certainement dire à ses proches que de là haut, il est dans l’allégresse du Seigneur. Adieu Diégou, adieu président, que la terre des hommes te soit légère. Ce silence long car douloureux a été interrompu par la voix d’Eugène Dié Kacou pour «demander la route». Mais avant de partir, Ibrahim Sy Savané a écrit sa douleur dans le livre de condoléances posé sur un meuble à l’entrée de la maison.
Marie Chantal Obindé
