L’un des tout premiers réalisateurs cinématographiques ivoiriens, Désiré Ecaré a rendu l’âme lundi 16 février au centre hospitalier international, la PISAM à Abidjan. La pernicieuse maladie qui rongeait le cinéaste depuis de longues années a eu finalement raison de lui.
Après une enfance assez dorée en Côte d’Ivoire, le jeune Désiré se rend en France où il poursuit ses études. Elles sont sanctionnées par le bac. Muni de ce diplôme, il suit des cours de théâtre. Le temps et ses différentes fréquentations lui inspirent le goût du septième art. Il s’y met avec passion et devient réalisateur.
En 1970, Désiré Ecaré réalise deux superbes films : “Femme nue” et “Femme noire”. 1985 confirme son talent avec le film “Visages de femmes” qui a laissé apprécier les qualités d’acteur de Sidiki Bakaba, Kouadio Brou, Albertine N’Guessan, Véronique Mahilé…
Après la mort de Harris Memel Fotê, l’Académie des arts, des sciences de la culture de la diaspora (ASCAD), vient de perdre un autre grand immortel.
Azo Vauguy
Après une enfance assez dorée en Côte d’Ivoire, le jeune Désiré se rend en France où il poursuit ses études. Elles sont sanctionnées par le bac. Muni de ce diplôme, il suit des cours de théâtre. Le temps et ses différentes fréquentations lui inspirent le goût du septième art. Il s’y met avec passion et devient réalisateur.
En 1970, Désiré Ecaré réalise deux superbes films : “Femme nue” et “Femme noire”. 1985 confirme son talent avec le film “Visages de femmes” qui a laissé apprécier les qualités d’acteur de Sidiki Bakaba, Kouadio Brou, Albertine N’Guessan, Véronique Mahilé…
Après la mort de Harris Memel Fotê, l’Académie des arts, des sciences de la culture de la diaspora (ASCAD), vient de perdre un autre grand immortel.
Azo Vauguy