"Il est vrai que je n’étais pas informée de l’organisation de cette manifestation dans ma commune. A ce propos, j’ai eu monsieur Marcel Gossio au téléphone, devant témoins, mon chef de cabinet et l’un de mes conseillers techniques. Nous avons échangé et j’ai donné mon accord pour l’émission Stars Tonnerre que je connais très bien. Mr Gossio a dit bon, je vais prendre rendez-vous avec vous, dès que vous serez rétablie. Voilà comment nous nous sommes quittés au téléphone. Je m’inscris donc en faux contre ces accusations.
Vous savez, tout ce que vous faites, lorsque vous le faites avec de très bonnes intentions, Dieu vous permet toujours d’aller de l’avant. Donc je vous le répète, je n’ai rien contre Gossio. Il représente le président Gbagbo moi, je représente le président Bédié, et nous devons montrer l’exemple, faire preuve de beaucoup de responsabilité.
Ceci dit, à partir du moment où j’ai donné mon accord, je ne dis pas oui et derrière dire non. Je suis désolée. Ceux qui racontent que j’ai commis des personnes pour troubler la manifestation, sont vraiment de mauvaise foi. Ça ne nous ressemble pas à Port –Bouet, et je n’accepte pas qu’on me prête ces intentions.
Je n’y suis absolument pour rien. Depuis 28 ans que nous sommes aux affaires, ces genres de pratiques n’ont jamais fait partie de nos habitudes. Nous avons été à l’école de Félix-Houphouet- Boigny et donc je ne me sens pas concernée par cette histoire. Non, et je trouve même inadmissible que certains me montrent du doigt.
Vous savez, pour les populations, pour nos jeunes qui organisent, je l’ai toujours affirmée, ce sont nos enfants, nous avons de la considération pour tout le monde, surtout qu’il s’agit là d’une émission de divertissement. C’est ce message que nous avons même fait passer à la radio ATM. Maintenant, vous savez que dans ces genres de manifestations où on invite tout le monde, c’est difficile d’avoir les yeux sur chaque personne.
C’est d’ailleurs pour ça que j’ai informé la police. Le commissaire me disait qu’eux aussi n’avaient pas l’information d’une manifestation sur la commune. Je lui ai dit OK ! Maintenant que nous sommes tous avisés, faites ce que vous avez à faire. Voilà ce que j’ai dit au commissaire de police.
Je suis vraiment désolée. Je n’avais même pas l’information, c’est à mon arrivée de la messe vers 13 heures que j’ai appris ce qui s’est passé. Il n’y pas eu de blessé, m’a –t-on dit, tant mieux.
Sinon, si je ne voulais pas que la manifestation se produise, j’allais le dire à Mr Gossio. Ce qui n’a pas été le cas. Non, le désordre n’est pas de mon fait. Je vous remercie. ‘’
Propos recueillis au téléphone par D.D.D.
Vous savez, tout ce que vous faites, lorsque vous le faites avec de très bonnes intentions, Dieu vous permet toujours d’aller de l’avant. Donc je vous le répète, je n’ai rien contre Gossio. Il représente le président Gbagbo moi, je représente le président Bédié, et nous devons montrer l’exemple, faire preuve de beaucoup de responsabilité.
Ceci dit, à partir du moment où j’ai donné mon accord, je ne dis pas oui et derrière dire non. Je suis désolée. Ceux qui racontent que j’ai commis des personnes pour troubler la manifestation, sont vraiment de mauvaise foi. Ça ne nous ressemble pas à Port –Bouet, et je n’accepte pas qu’on me prête ces intentions.
Je n’y suis absolument pour rien. Depuis 28 ans que nous sommes aux affaires, ces genres de pratiques n’ont jamais fait partie de nos habitudes. Nous avons été à l’école de Félix-Houphouet- Boigny et donc je ne me sens pas concernée par cette histoire. Non, et je trouve même inadmissible que certains me montrent du doigt.
Vous savez, pour les populations, pour nos jeunes qui organisent, je l’ai toujours affirmée, ce sont nos enfants, nous avons de la considération pour tout le monde, surtout qu’il s’agit là d’une émission de divertissement. C’est ce message que nous avons même fait passer à la radio ATM. Maintenant, vous savez que dans ces genres de manifestations où on invite tout le monde, c’est difficile d’avoir les yeux sur chaque personne.
C’est d’ailleurs pour ça que j’ai informé la police. Le commissaire me disait qu’eux aussi n’avaient pas l’information d’une manifestation sur la commune. Je lui ai dit OK ! Maintenant que nous sommes tous avisés, faites ce que vous avez à faire. Voilà ce que j’ai dit au commissaire de police.
Je suis vraiment désolée. Je n’avais même pas l’information, c’est à mon arrivée de la messe vers 13 heures que j’ai appris ce qui s’est passé. Il n’y pas eu de blessé, m’a –t-on dit, tant mieux.
Sinon, si je ne voulais pas que la manifestation se produise, j’allais le dire à Mr Gossio. Ce qui n’a pas été le cas. Non, le désordre n’est pas de mon fait. Je vous remercie. ‘’
Propos recueillis au téléphone par D.D.D.
