Vingt deux jours après le décès, à Tunis (Tunisie), du grand journaliste Jérôme Diégou Bailly, le président de la République, SEM Laurent Gbagbo, a salué sa mémoire, en début d’après-midi du lundi 23 février 2009, à son domicile de la Riviera-Golf.
“Avec la disparition de Jérôme Diégou Bailly, la Côte d’Ivoire perd un de ses plus grands serviteurs. Un homme de culture s’en va, un grand homme de média nous a quittés”. C’est en ces termes que le premier magistrat de la République a rendu hommage au défunt président du Conseil national de la communication audiovisuelle (CNCA) dans le livre de condoléances.
Le président Gbagbo n’a pas ignoré la preuve d’amour de la veuve à l’égard de son mari qu’elle a pourtant voulu voir vivre encore auprès d’elle, en lui offrant un de ses reins, lors de l’insuffisance rénale contre laquelle il a longtemps lutté. En vain. Pour le président de la république, en effet, elle reste « une bonne épouse, une épouse exemplaire » ayant fait preuve de « don de soi dans la vie de son époux et surtout pendant sa maladie ». C’est pourquoi, à cette femme, « à ses enfants, à ses parents, à ses frères et sœurs, ainsi qu’à tous ses collaborateurs et confrères », le chef de l’Etat a vivement présenté ses condoléances les plus attristées dans une atmosphère lourde de grande douleur muette ou non.
Une heure de compassion. C’est la durée de la présence chez Diégou Bailly du président Gbagbo qui comptait dans sa délégation, Martin Sokouri Bohui, directeur général du groupe de presse La Refondation, société éditrice du quotidien Notre Voie. Ce patron de presse, qui faisait également office de porte-parole de la délégation présidentielle, s’est d’ailleurs incliné devant “l’intellectuel, l’écrivain et le journaliste” Diégou Bailly qui laisse aux médias de Côte d’Ivoire poursuivre désormais leur marche sans lui.
Etaient présents à cérémonie, Franck Anderson Kouassi, secrétaire général du CNCA, Alfred Dan Moussa, directeur des rédactions du groupe de presse Fraternité Matin, Kpolo Mapri, président du Comité national d’organisation des obsèques du défunt, le professeur Ouraga Obou, Maurice Lohourignon…et Rémi Saki, porte-parole de la famille éplorée.
Schadé Adédé
“Avec la disparition de Jérôme Diégou Bailly, la Côte d’Ivoire perd un de ses plus grands serviteurs. Un homme de culture s’en va, un grand homme de média nous a quittés”. C’est en ces termes que le premier magistrat de la République a rendu hommage au défunt président du Conseil national de la communication audiovisuelle (CNCA) dans le livre de condoléances.
Le président Gbagbo n’a pas ignoré la preuve d’amour de la veuve à l’égard de son mari qu’elle a pourtant voulu voir vivre encore auprès d’elle, en lui offrant un de ses reins, lors de l’insuffisance rénale contre laquelle il a longtemps lutté. En vain. Pour le président de la république, en effet, elle reste « une bonne épouse, une épouse exemplaire » ayant fait preuve de « don de soi dans la vie de son époux et surtout pendant sa maladie ». C’est pourquoi, à cette femme, « à ses enfants, à ses parents, à ses frères et sœurs, ainsi qu’à tous ses collaborateurs et confrères », le chef de l’Etat a vivement présenté ses condoléances les plus attristées dans une atmosphère lourde de grande douleur muette ou non.
Une heure de compassion. C’est la durée de la présence chez Diégou Bailly du président Gbagbo qui comptait dans sa délégation, Martin Sokouri Bohui, directeur général du groupe de presse La Refondation, société éditrice du quotidien Notre Voie. Ce patron de presse, qui faisait également office de porte-parole de la délégation présidentielle, s’est d’ailleurs incliné devant “l’intellectuel, l’écrivain et le journaliste” Diégou Bailly qui laisse aux médias de Côte d’Ivoire poursuivre désormais leur marche sans lui.
Etaient présents à cérémonie, Franck Anderson Kouassi, secrétaire général du CNCA, Alfred Dan Moussa, directeur des rédactions du groupe de presse Fraternité Matin, Kpolo Mapri, président du Comité national d’organisation des obsèques du défunt, le professeur Ouraga Obou, Maurice Lohourignon…et Rémi Saki, porte-parole de la famille éplorée.
Schadé Adédé