A deux jours de la fin l’opération d’identification des populations et de recensement électoral (28 février), la supervision de la région du Moyen-Cavally fait son bilan. Sur un total de 241 736 personnes concernées, 124 247 ont été identifiées et enrôlées. Ce bilan, contenu dans un document réalisé par le Secrétaire permanent et porte-parole de la Cei, Auguste Séverin Miremont, par ailleurs superviseur de la région du Moyen-Cavally, précise que 60 248 personnes ont été enrôlées dans le département de Duékoué sur une population estimée à 96 795. Tandis qu’à Guiglo, ce sont 35 226 individus sur un total de 77 129 qui ont été enrôlés. Le département de Bloléquin, selon le document dont nous avons reçu copie hier, affiche 18 044 personnes enrôlées sur un effectif de 40 363 attendues. Dans le département de Toulepleu, 10 729 personnes sur 27 449 ont été enrôlées.
Le document précise que dans cette région, les départements de Duékoué et Bloléquin seront dans le temps. «Guiglo et Toulepleu mettront à profit la période de prorogation pour couvrir non seulement les localités restantes (peu nombreuses et à population peu dense), mais aussi, comme les autres, permettre aux retardataires et aux requérants de la reconstitution de leur état civil, de se faire enrôler», rassure Auguste Miremont. Il explique «le léger retard constaté» par, entre autres raisons, l’insuffisance des kits de l’Ins, le nombre important des personnes dont les registres d’état civil ont disparu ou ont été détruits. Le superviseur régional salue la coopération du corps préfectoral, des élus, des cadres et des populations pour les résultats obtenus. Non sans relever la rigueur des responsables de la Cei, l’Ins, l’Oni et Sagem d’une part et la disponibilité de l’Onuci d’autre part.
Pascal Soro
Le document précise que dans cette région, les départements de Duékoué et Bloléquin seront dans le temps. «Guiglo et Toulepleu mettront à profit la période de prorogation pour couvrir non seulement les localités restantes (peu nombreuses et à population peu dense), mais aussi, comme les autres, permettre aux retardataires et aux requérants de la reconstitution de leur état civil, de se faire enrôler», rassure Auguste Miremont. Il explique «le léger retard constaté» par, entre autres raisons, l’insuffisance des kits de l’Ins, le nombre important des personnes dont les registres d’état civil ont disparu ou ont été détruits. Le superviseur régional salue la coopération du corps préfectoral, des élus, des cadres et des populations pour les résultats obtenus. Non sans relever la rigueur des responsables de la Cei, l’Ins, l’Oni et Sagem d’une part et la disponibilité de l’Onuci d’autre part.
Pascal Soro