Echos de Ouaga

La liste « Oser Inza »
au cœur du Fespaco
La liste « Oser Inza », candidate aux élections du conseil exécutif de l’UNJCI, a tout mis en œuvre pour faire partir une quinzaine de journalistes culturels au FESPACO. La délégation conduite par Edwige H. est partie d’Abidjan vendredi dernier. Selon H. tout se passe pour le mieux actuellement. Il n’est pas exclu qu’avant la fin du Fespaco la tête de liste KIGBAFORY Inza se rende lui-même à Ouaga pour soutenir ses confrères.

Sidiki Bakaba, Etranny, Timité Bassori… sont là !
Une forte délégation ivoirienne est présente actuellement à Ouaga. On y reconnaît pêle-mêle Sidiki Bakaba dont l’œuvre « Il nous faut l’Amérique » a été sélectionnée dans l’une des catégories du fespaco 2009, Norbert Etranny, directeur du CNAC( Centre National des arts et de la culture), Timité Bassori, Honoré N’Zué, Dazelor Mohamed, Léa Dubois dont les deux long métrages « Le prix de l’amour » et « Au nom de l’honneur » ont été retenus.

Kojo Antwi fait le show
La star ghanéenne était la tête d’affiche de l’animation musicale de la cérémonie d’ouverture du festival. Avec son orchestre, il a tenu en haleine les reggaephiles.

Trop de péripéties
pour les festivaliers
Pour s’offrir une accréditation, c’est la croix et la bannière pour les festivaliers. Les dossiers de beaucoup d’entre eux sont introuvables. Chaque jour, c’est un ballet incessant pour les fameux badges qui donnent accès aux salles de projections. L’amertume et la désolation se lit sur le visage de beaucoup d’entre eux qui ne comprennent toujours pas pourquoi les badges ne sont pas prêts. Entre-temps, ils ne peuvent pas voir les films.

Tout n’est pas prêt
Le début de ce 21ème fespaco est décidemment difficile. Annoncée, la salle de presse n’était pas encore disponible dimanche. De même, les premiers catalogues ne sont sortis de l’imprimerie qu’hier, juste une poignée, avec à la clé des erreurs de montage, avec des pages renversées.

Tiken Jah dans la place…
A ‘Salfo aussi
Le descendant de Fakoly séjourne en ce moment à Ouaga, dans le cadre de son projet humanitaire de construction des écoles. Il a rencontré samedi matin la presse locale. Quant au « gaou » de Magic System, il a été aperçu samedi, tard dans la nuit, au Taxi Brousse, le coin des branchés de Ouaga sur l’Avenue Kwame Nkrumah.


Y S à Ouaga