Un atelier d’évaluation et de formation des praticiens du droit aux actes uniformes de l’Ohada s’est ouvert, hier, dans un complexe hôtelier de la place. Et ce, à l’initiative du secrétariat national à la gouvernance et au renforcement des capacités, en collaboration avec le ministère de la Justice et des Droits de l’homme.
A en croire Me Amani-Druide Roberte Tania, secrétaire national à la gouvernance et au renforcement des capacités, la tenue du séminaire a été suscitée par un constat : plusieurs années après l’entrée en vigueur du traité de l’Ohada, l’application des huit actes uniformes qui le composent est parfois freinée du fait des insuffisances des praticiens du droit. C’est justement pour combler ces insuffisances que du 2 au 28 mars, près de 200 praticiens du droit (magistrats, greffiers, avocats, huissiers de justice, notaires et autres), bénéficieront de formations adéquates en sept sessions tant à Abidjan qu’à Yamoussoukro.
Pour le garde des sceaux ministre de la Justice et des Droits de l’homme, Koné Mamadou, qui présidait la cérémonie d’ouverture, si le chemin parcouru par le traité de l’Ohada est important, il reste néanmoins beaucoup à faire. Car, estime-t-il, l’handicap majeur à la mise en œuvre de ce traité réside dans la méconnaissance par les praticiens du droit, des règles et des mécanismes communautaires. C’est à juste titre que le garde des sceaux a salué la tenue du séminaire qui aura pour avantage de spécialiser les magistrats et d’autres praticiens du droit dans le domaine du droit des affaires.
« L’évaluation de l’application du traité Ohada en Côte d’Ivoire ». Tel est le thème principal du séminaire –atelier ouvert hier.
Marc Yevou
A en croire Me Amani-Druide Roberte Tania, secrétaire national à la gouvernance et au renforcement des capacités, la tenue du séminaire a été suscitée par un constat : plusieurs années après l’entrée en vigueur du traité de l’Ohada, l’application des huit actes uniformes qui le composent est parfois freinée du fait des insuffisances des praticiens du droit. C’est justement pour combler ces insuffisances que du 2 au 28 mars, près de 200 praticiens du droit (magistrats, greffiers, avocats, huissiers de justice, notaires et autres), bénéficieront de formations adéquates en sept sessions tant à Abidjan qu’à Yamoussoukro.
Pour le garde des sceaux ministre de la Justice et des Droits de l’homme, Koné Mamadou, qui présidait la cérémonie d’ouverture, si le chemin parcouru par le traité de l’Ohada est important, il reste néanmoins beaucoup à faire. Car, estime-t-il, l’handicap majeur à la mise en œuvre de ce traité réside dans la méconnaissance par les praticiens du droit, des règles et des mécanismes communautaires. C’est à juste titre que le garde des sceaux a salué la tenue du séminaire qui aura pour avantage de spécialiser les magistrats et d’autres praticiens du droit dans le domaine du droit des affaires.
« L’évaluation de l’application du traité Ohada en Côte d’Ivoire ». Tel est le thème principal du séminaire –atelier ouvert hier.
Marc Yevou