Invité par les Parlements et Agoras de Côte d’Ivoire, le député Sokouri Bohui, Secrétaire national chargé des élections au FPI a animé hier mercredi 18 mars 2009, une conférence publique à l’hôtel du District d’Abidjan sur le thème : “Quelle contribution des Parlements et Agoras au processus électoral”.
Avant d’entrer dans le fond du débat, le député Martin Sokouri Bohui, Secrétaire national du FPI chargé des élections a tenu à réorienter le thème de sa conférence : “Quelle contribution des Parlements et Agoras au processus électoral. Libellé ainsi, il aurait fallu que ça soit un des vôtres qui anime la conférence. Car vous savez mieux que quiconque votre rôle qui peut être résumé en trois points. A savoir, mobiliser, sensibiliser et rassurer la population. Mais si vous avez invité le Secrétaire national chargé des élections, c’est pour que nous puissions vous donner les arguments pour mieux accomplir la mission que vous vous êtes assignée”, a dit le député de Koumassi. Aussi a-t-il axé son intervention sur les potentiels candidats à l’élection présidentielle à venir. Mais avant d’en arriver là, celui qu’on appelle “Monsieur élection” du FPI a mis en relief l’importance des élections à venir pour la Côte d’Ivoire et qui explique qu’il faut mettre à la tête du pays, un homme aux qualités exceptionnelles au sortir de ces élections qui marqueront la fin de la crise. Ainsi tout en félicitant les Parlements et Agoras pour la contribution fort appréciable prise dans la lutte de résistance, l’émissaire du FPI a expliqué que le combat est loin d’être terminé tant que les élections qui doivent se solder par la victoire écrasante du Président Gbagbo n’ont pas eu lieu.
Pour mieux se faire comprendre, il s’est appuyé sur l’exemple de la coupe du monde de 1974. “La Hollande de John Cruff avait survolé ce championnat en battant tous ses adversaires par au moins un score de 2 buts d’écart. Mais en finale et à la surprise générale, la Hollande a été battue par un but à zéro par l’Allemagne qu’elle avait pourtant battu lors des éliminatoires. Du coup, tous les efforts des joueurs Hollandais étaient tombés à l’eau. De même, dans cette lutte, la distance que nous avons déjà parcourue représente 90% du trajet et celle qui reste 10%. Mais les 10% sont plus importante et plus déterminante parce qu’ils se traduisent en terme d’élections. Et si nous perdons les élections, c’est comme si nous n’avions rien fait. Retroussons donc nos manches et remettons-nous au travail pour faire élire le président Gbagbo au premier tour”.
Parlant justement du président Gbagbo, le premier candidat qu’il a choisi de présenter, le député de Koumassi a parlé de quelques-unes de ses actions qui l’ont marqué aussi bien dans l’opposition qu’au pouvoir.
S’agissant de l’opposant Gbagbo, l’émissaire du FPI a expliqué que lorsqu’il était en exil en France, feu le Président Houphouët-Boigny avait tenté de le corrompre en lui proposant la somme de 2 milliards en plus d’un poste de ministre d’Etat. Selon le député Sokouri, le président Gbagbo avait répondu ceci à l’envoyé du Président Houphouët: “Je ne me bats pas pour être riche. Je me bats pour le bien-être des Ivoiriens. Allez dire à Houphouët, s’il prend les 2 milliards pour augmenter le prix du kilogramme de café et de cacao des paysans, c’est à moi qu’il aura donné cet argent, car c’est pour eux que je me bats”. Ensuite, poursuit le député de Koumassi, “de retour d’exil, le même Gbagbo a constaté que le gouvernement avait fait virer son salaire pendant 10 mois. Estimant qu’il n’était pas normal qu’on le paie alors qu’il n’a pas travaillé, il avait changé de banque en en y laissant même le peu d’argent qu’il avait sur ce compte pour éviter tout amalgame”. Pour l’émissaire du FPI, si le président Gbagbo s’était laissé prendre au piège de feu le président Houphouët en prenant les 2 milliards ou en touchant l’argent qui avait été viré sur son compte, il n’y aurait pas eu multipartisme en 1990, la parole n’aurait pas été libérée et il ne serait pas devenu président de la République. Pour lui donc, c’est d’un tel homme aux qualités morales exceptionnelles que la Côte d’Ivoire a besoin à sa tête.
Parlant de Gbagbo au pouvoir, indépendamment des progrès réalisés en deux ans d’exercice du pouvoir, le député de Koumassi a insisté sur son retour héroïque quand le pays a été attaqué en septembre 2002 alors qu’il se trouvait en visite d’Etat en Italie. “La guerre a éclaté à 2 heures du matin dans la nuit du 18 au 19 septembre 2002. Et déjà à 6 heures, un émissaire du Président Chirac se trouvait dans la chambre d’hôtel du président Gbagbo. Et quand on lui demande les nouvelles, il dit qu’il est l’envoyé de Chirac qui demande au président Gbagbo d’aller se mettre à l’abri en France parce que son pays est en guerre. Et le président Gbagbo de répondre : allez dire à Chirac qu’un président de la République, ce n’est pas seulement pour recevoir les honneurs. Mais c’est aussi pour défendre le pays quand celui-ci est attaqué. Mon pays est attaqué, et mon devoir est d’aller prendre la tête du combat pour la défense de la Patrie”.
C’est ainsi que le lendemain, le chef de l’Etat a confié les autres membres de sa délégation à son épouse Simone Ehivet Gbagbo pour prendre seul l’avion du retour. “C’est moi qui ai été élu, c’est donc moi qui vais prendre des risques”, a dit le président Gbagbo selon le député Sokouri. C’est ainsi que le chef de l’Etat est revenu dans une Côte d’Ivoire qui était dans le feu sachant très bien que son avion pouvait être abattu. Mais Dieu merci, il a atterri sans problème. “C’est parce que le Président Gbagbo est revenu au pays que nous ne sommes pas devenus étrangers dans notre propre pays”, estime l’émissaire du FPI. C’est, dira-t-il également, d’un tel homme courageux et prêt à mourir pour le pays que la Côte d’Ivoire mérite d’avoir comme chef, à la différence de certains qui dès le premier coup de fusil, sautent dans le premier avion où sautent les clôtures des ambassades.
Parlant justement des autres candidats potentiels, le député de Koumassi a d’abord pris l’exemple d’Henri Kishinger qui en 1970 était le plus populaire des Américains postulants à la présidence, mais qui avait été recalé par la Constitution de son pays. N’étant pas né sur le sol américain, il s’était soumis à la Constitution de son pays sans menacer de “mélanger le pays, et de le rendre ingouvernable”. Pour le député de Koumassi, la Côte d’Ivoire n’a pas “besoin des hommes qui sont passés maîtres dans l’art de nuire et qui ont érigé les coups d’Etat en mode de conquête du pouvoir d’Etat”. C’est pourquoi il s’étonne de ce que certains journaux fassent la promotion d’un tel homme en écrivant qu’il fait ce qu’il dit : “Que fait-il, s’interroge-t-il ? Les coups d’Etat, les rébellions ”? Et le Secrétaire national chargé des élections au FPI de conseiller : “Ne faites pas la promotion des coups d’Etat et des rébellions, car nous avons besoin d’opposants civilisés”. Il s’étonne également qu’on dise de ce même candidat qu’il peut être président en Côte d’Ivoire parce que Sarkozy et Obama ont été élus en France et aux Etats-Unis. Pour le député Sokouri, le dénominateur commun de cet homme avec les présidents Sarkozy et Obama est qu’ils sont tous des fils d’immigrés. Seulement à la différence des autres “le nôtre ne reconnaît pas ses origines”, a fait remarquer le député Sokouri qui poursuit : “Je constate donc que ce Monsieur est le seul ivoirien qui n’est ni de souche et qui n’a ni de décret de naturalisation”.
S’agissant du troisième candidat, l’invité des Parlements et Agora s’étonne également qu’on dise de lui qu’il est “un bon médicament”. “Il a été ambassadeur, ministre pendant 11 ans, président de l’Assemblée nationale pendant 13 ans et président de la République pendant 6ans. Que cherche-t-il encore ? Si pendant tout ce temps, il n’a pas pu guérir quelqu’un, ce n’est pas au soir de sa vie où il est à la retraite qu’il va le guérir”. Et le député Sokouri de dire : “Si le soleil du matin et de midi n’a pas pu sécher l’attiéké, ce n’est pas celui de 18 heures qui va le sécher”. C’est pourquoi il estime que ce candidat dont on dit qu’il est un bon médicament, n’est en réalité qu’un médicament périmé dont la Côte d’Ivoire n’a pas non plus besoin. Car un médicament périmé, est un poison.
En définitive, pour le député Martin Sokouri Bohui, le seul homme qui mérite de diriger la Côte d’Ivoire après la guerre, est le Président Gbagbo. “En tout état de cause, dira-t-il, tout le monde est aujourd’hui unanime à reconnaître que c’est lui qui peut nous apporter le bonheur. Tous ceux qui sont intervenus lors de sa tournée dans le Nord l’ont clairement indiqué. Alors réconcilions-nous autour de lui en l’élisant massivement au premier tour. Dans nos villages, quand on règle un problème, on se réconcilie toujours autour de celui qui a été offensé. Dans la crise que nous vivons, c’est le président Gbagbo qui a été offensé”.
Le député Martin Sokouri Bohui était entouré par le ministre Koffi Koffi Lazare, président de l’Assemblée Populaire et président de séance inamovible des conférences des Parlements et Agoras et Jean-Marie Konnnet, président de la fédération des Parlements et Agoras.
Il y avait également dans la salle, plusieurs directeurs départementaux de campagne du président Gbagbo et des membres du cabinet du Secrétaire national chargé des élections au FPI.
Boga Sivori bogasivo@yahoo.fr
Avant d’entrer dans le fond du débat, le député Martin Sokouri Bohui, Secrétaire national du FPI chargé des élections a tenu à réorienter le thème de sa conférence : “Quelle contribution des Parlements et Agoras au processus électoral. Libellé ainsi, il aurait fallu que ça soit un des vôtres qui anime la conférence. Car vous savez mieux que quiconque votre rôle qui peut être résumé en trois points. A savoir, mobiliser, sensibiliser et rassurer la population. Mais si vous avez invité le Secrétaire national chargé des élections, c’est pour que nous puissions vous donner les arguments pour mieux accomplir la mission que vous vous êtes assignée”, a dit le député de Koumassi. Aussi a-t-il axé son intervention sur les potentiels candidats à l’élection présidentielle à venir. Mais avant d’en arriver là, celui qu’on appelle “Monsieur élection” du FPI a mis en relief l’importance des élections à venir pour la Côte d’Ivoire et qui explique qu’il faut mettre à la tête du pays, un homme aux qualités exceptionnelles au sortir de ces élections qui marqueront la fin de la crise. Ainsi tout en félicitant les Parlements et Agoras pour la contribution fort appréciable prise dans la lutte de résistance, l’émissaire du FPI a expliqué que le combat est loin d’être terminé tant que les élections qui doivent se solder par la victoire écrasante du Président Gbagbo n’ont pas eu lieu.
Pour mieux se faire comprendre, il s’est appuyé sur l’exemple de la coupe du monde de 1974. “La Hollande de John Cruff avait survolé ce championnat en battant tous ses adversaires par au moins un score de 2 buts d’écart. Mais en finale et à la surprise générale, la Hollande a été battue par un but à zéro par l’Allemagne qu’elle avait pourtant battu lors des éliminatoires. Du coup, tous les efforts des joueurs Hollandais étaient tombés à l’eau. De même, dans cette lutte, la distance que nous avons déjà parcourue représente 90% du trajet et celle qui reste 10%. Mais les 10% sont plus importante et plus déterminante parce qu’ils se traduisent en terme d’élections. Et si nous perdons les élections, c’est comme si nous n’avions rien fait. Retroussons donc nos manches et remettons-nous au travail pour faire élire le président Gbagbo au premier tour”.
Parlant justement du président Gbagbo, le premier candidat qu’il a choisi de présenter, le député de Koumassi a parlé de quelques-unes de ses actions qui l’ont marqué aussi bien dans l’opposition qu’au pouvoir.
S’agissant de l’opposant Gbagbo, l’émissaire du FPI a expliqué que lorsqu’il était en exil en France, feu le Président Houphouët-Boigny avait tenté de le corrompre en lui proposant la somme de 2 milliards en plus d’un poste de ministre d’Etat. Selon le député Sokouri, le président Gbagbo avait répondu ceci à l’envoyé du Président Houphouët: “Je ne me bats pas pour être riche. Je me bats pour le bien-être des Ivoiriens. Allez dire à Houphouët, s’il prend les 2 milliards pour augmenter le prix du kilogramme de café et de cacao des paysans, c’est à moi qu’il aura donné cet argent, car c’est pour eux que je me bats”. Ensuite, poursuit le député de Koumassi, “de retour d’exil, le même Gbagbo a constaté que le gouvernement avait fait virer son salaire pendant 10 mois. Estimant qu’il n’était pas normal qu’on le paie alors qu’il n’a pas travaillé, il avait changé de banque en en y laissant même le peu d’argent qu’il avait sur ce compte pour éviter tout amalgame”. Pour l’émissaire du FPI, si le président Gbagbo s’était laissé prendre au piège de feu le président Houphouët en prenant les 2 milliards ou en touchant l’argent qui avait été viré sur son compte, il n’y aurait pas eu multipartisme en 1990, la parole n’aurait pas été libérée et il ne serait pas devenu président de la République. Pour lui donc, c’est d’un tel homme aux qualités morales exceptionnelles que la Côte d’Ivoire a besoin à sa tête.
Parlant de Gbagbo au pouvoir, indépendamment des progrès réalisés en deux ans d’exercice du pouvoir, le député de Koumassi a insisté sur son retour héroïque quand le pays a été attaqué en septembre 2002 alors qu’il se trouvait en visite d’Etat en Italie. “La guerre a éclaté à 2 heures du matin dans la nuit du 18 au 19 septembre 2002. Et déjà à 6 heures, un émissaire du Président Chirac se trouvait dans la chambre d’hôtel du président Gbagbo. Et quand on lui demande les nouvelles, il dit qu’il est l’envoyé de Chirac qui demande au président Gbagbo d’aller se mettre à l’abri en France parce que son pays est en guerre. Et le président Gbagbo de répondre : allez dire à Chirac qu’un président de la République, ce n’est pas seulement pour recevoir les honneurs. Mais c’est aussi pour défendre le pays quand celui-ci est attaqué. Mon pays est attaqué, et mon devoir est d’aller prendre la tête du combat pour la défense de la Patrie”.
C’est ainsi que le lendemain, le chef de l’Etat a confié les autres membres de sa délégation à son épouse Simone Ehivet Gbagbo pour prendre seul l’avion du retour. “C’est moi qui ai été élu, c’est donc moi qui vais prendre des risques”, a dit le président Gbagbo selon le député Sokouri. C’est ainsi que le chef de l’Etat est revenu dans une Côte d’Ivoire qui était dans le feu sachant très bien que son avion pouvait être abattu. Mais Dieu merci, il a atterri sans problème. “C’est parce que le Président Gbagbo est revenu au pays que nous ne sommes pas devenus étrangers dans notre propre pays”, estime l’émissaire du FPI. C’est, dira-t-il également, d’un tel homme courageux et prêt à mourir pour le pays que la Côte d’Ivoire mérite d’avoir comme chef, à la différence de certains qui dès le premier coup de fusil, sautent dans le premier avion où sautent les clôtures des ambassades.
Parlant justement des autres candidats potentiels, le député de Koumassi a d’abord pris l’exemple d’Henri Kishinger qui en 1970 était le plus populaire des Américains postulants à la présidence, mais qui avait été recalé par la Constitution de son pays. N’étant pas né sur le sol américain, il s’était soumis à la Constitution de son pays sans menacer de “mélanger le pays, et de le rendre ingouvernable”. Pour le député de Koumassi, la Côte d’Ivoire n’a pas “besoin des hommes qui sont passés maîtres dans l’art de nuire et qui ont érigé les coups d’Etat en mode de conquête du pouvoir d’Etat”. C’est pourquoi il s’étonne de ce que certains journaux fassent la promotion d’un tel homme en écrivant qu’il fait ce qu’il dit : “Que fait-il, s’interroge-t-il ? Les coups d’Etat, les rébellions ”? Et le Secrétaire national chargé des élections au FPI de conseiller : “Ne faites pas la promotion des coups d’Etat et des rébellions, car nous avons besoin d’opposants civilisés”. Il s’étonne également qu’on dise de ce même candidat qu’il peut être président en Côte d’Ivoire parce que Sarkozy et Obama ont été élus en France et aux Etats-Unis. Pour le député Sokouri, le dénominateur commun de cet homme avec les présidents Sarkozy et Obama est qu’ils sont tous des fils d’immigrés. Seulement à la différence des autres “le nôtre ne reconnaît pas ses origines”, a fait remarquer le député Sokouri qui poursuit : “Je constate donc que ce Monsieur est le seul ivoirien qui n’est ni de souche et qui n’a ni de décret de naturalisation”.
S’agissant du troisième candidat, l’invité des Parlements et Agora s’étonne également qu’on dise de lui qu’il est “un bon médicament”. “Il a été ambassadeur, ministre pendant 11 ans, président de l’Assemblée nationale pendant 13 ans et président de la République pendant 6ans. Que cherche-t-il encore ? Si pendant tout ce temps, il n’a pas pu guérir quelqu’un, ce n’est pas au soir de sa vie où il est à la retraite qu’il va le guérir”. Et le député Sokouri de dire : “Si le soleil du matin et de midi n’a pas pu sécher l’attiéké, ce n’est pas celui de 18 heures qui va le sécher”. C’est pourquoi il estime que ce candidat dont on dit qu’il est un bon médicament, n’est en réalité qu’un médicament périmé dont la Côte d’Ivoire n’a pas non plus besoin. Car un médicament périmé, est un poison.
En définitive, pour le député Martin Sokouri Bohui, le seul homme qui mérite de diriger la Côte d’Ivoire après la guerre, est le Président Gbagbo. “En tout état de cause, dira-t-il, tout le monde est aujourd’hui unanime à reconnaître que c’est lui qui peut nous apporter le bonheur. Tous ceux qui sont intervenus lors de sa tournée dans le Nord l’ont clairement indiqué. Alors réconcilions-nous autour de lui en l’élisant massivement au premier tour. Dans nos villages, quand on règle un problème, on se réconcilie toujours autour de celui qui a été offensé. Dans la crise que nous vivons, c’est le président Gbagbo qui a été offensé”.
Le député Martin Sokouri Bohui était entouré par le ministre Koffi Koffi Lazare, président de l’Assemblée Populaire et président de séance inamovible des conférences des Parlements et Agoras et Jean-Marie Konnnet, président de la fédération des Parlements et Agoras.
Il y avait également dans la salle, plusieurs directeurs départementaux de campagne du président Gbagbo et des membres du cabinet du Secrétaire national chargé des élections au FPI.
Boga Sivori bogasivo@yahoo.fr