La Banque ouest-africaine de développement (Boad) a signé hier un accord de prêt avec la Côte d’Ivoire. La cérémonie, qui s’est déroulée à l’auditorium de l’immeuble Sciam, a été marquée par les présences du ministre de l’Economie et des Finances, Charles Koffi Diby, représentant l’Etat de Côte d’Ivoire, le président de la Boad, Abdoulaye Bio Tchané, et le président directeur général de la Vitib S.A, Gadou Kragbé Vincent.
Ce prêt d’un montant de 13 milliards FCFA va être affecté au financement de la première phase d’aménagement et de viabilisation de 180 ha. Il s’agit particulièrement des VRD, de la construction du siège du Village des technologies de l’information et de la Biotechnologie (Vitib) et du premier hôtel d’entreprise, et de la rénovation du Vitib academy.
Pour le ministre Charles Koffi Diby, par ce geste, la Boad devient le premier contributeur à ce projet devant Efreximbank Inde (9 milliards FCFA) et la Bicd (5 milliards FCFA).
Le président de la Boad a, pour sa part, relevé que ce projet revêt une importance considérable dans la lutte contre la fracture numérique. Il a indiqué qu’il contribue également à la résorption du chômage des jeunes, à la promotion de l’investissement privé, et à la vulgarisation des nouvelles technologies de l’information et de la communication.
Le premier responsable du projet a promis une gestion saine des fonds.
J-S L
Ce prêt d’un montant de 13 milliards FCFA va être affecté au financement de la première phase d’aménagement et de viabilisation de 180 ha. Il s’agit particulièrement des VRD, de la construction du siège du Village des technologies de l’information et de la Biotechnologie (Vitib) et du premier hôtel d’entreprise, et de la rénovation du Vitib academy.
Pour le ministre Charles Koffi Diby, par ce geste, la Boad devient le premier contributeur à ce projet devant Efreximbank Inde (9 milliards FCFA) et la Bicd (5 milliards FCFA).
Le président de la Boad a, pour sa part, relevé que ce projet revêt une importance considérable dans la lutte contre la fracture numérique. Il a indiqué qu’il contribue également à la résorption du chômage des jeunes, à la promotion de l’investissement privé, et à la vulgarisation des nouvelles technologies de l’information et de la communication.
Le premier responsable du projet a promis une gestion saine des fonds.
J-S L