Abidjan - La star ivoirienne du reggae, Tiken Jah de Facoly a jeté son dévolu dans l’éducation des enfants de son pays en offrant une école primaire au village de Toroni dans la région d’Odiénné, au nord ouest avec l’appui de la région Rhône Alpes de Lyon en France, a appris APA dimanche.
«Je le dis toujours, tant que la jeunesse africaine ne sera pas lumière, notre développement sera impossible » a soutenu Tiken Jah, lui-même originaire d’Odienné.
Pour lui, l’éducation doit être considérée, au même titre que la santé, comme la base du développement.
C’est pourquoi, a poursuivi Tiken Jah « il m’a paru si important d’y participer concrètement pour ne plus jamais se laisser dominer par des puissances extérieures ».
L’artiste ivoirien a également insisté que « la connaissance est la lumière qui permet de sortir de l’obscurantisme ».
Avant le village de Toroni, Tiken Jah avait déjà construit un collège pour le village de Dianké à Tombouctou au Mali.
«J’ai construit ce collège à Dianké dans la région de Tombouctou pour dire merci au peuple malien qui m’a offert son hospitalité lors de mon exil à la faveur de la crise qu’a connue mon pays », se souvient Moussa Doumbia alias Tiken Jah de Facoly.
L’artiste «engagé » prévoit aussi d’offrir d’autres infrastructures de ce genre à sept autres capitales du continent dont Abidjan.
Tiken Jah de Facoly connu pour ses critiques acerbes vis-à-vis des dirigeants africains et européens a été contraint à l’exil en septembre 2002, aux lendemains du déclenchement d’une rébellion armée qui s’est emparée de la moitié nord du pays après l’échec de son coup de force contre le régime du président Gbagbo qui est parvenu à préserver le sud du pays.
LS/mn/APA
«Je le dis toujours, tant que la jeunesse africaine ne sera pas lumière, notre développement sera impossible » a soutenu Tiken Jah, lui-même originaire d’Odienné.
Pour lui, l’éducation doit être considérée, au même titre que la santé, comme la base du développement.
C’est pourquoi, a poursuivi Tiken Jah « il m’a paru si important d’y participer concrètement pour ne plus jamais se laisser dominer par des puissances extérieures ».
L’artiste ivoirien a également insisté que « la connaissance est la lumière qui permet de sortir de l’obscurantisme ».
Avant le village de Toroni, Tiken Jah avait déjà construit un collège pour le village de Dianké à Tombouctou au Mali.
«J’ai construit ce collège à Dianké dans la région de Tombouctou pour dire merci au peuple malien qui m’a offert son hospitalité lors de mon exil à la faveur de la crise qu’a connue mon pays », se souvient Moussa Doumbia alias Tiken Jah de Facoly.
L’artiste «engagé » prévoit aussi d’offrir d’autres infrastructures de ce genre à sept autres capitales du continent dont Abidjan.
Tiken Jah de Facoly connu pour ses critiques acerbes vis-à-vis des dirigeants africains et européens a été contraint à l’exil en septembre 2002, aux lendemains du déclenchement d’une rébellion armée qui s’est emparée de la moitié nord du pays après l’échec de son coup de force contre le régime du président Gbagbo qui est parvenu à préserver le sud du pays.
LS/mn/APA