Décédé brutalement à sa résidence de West Virginie, le mardi 3 mars dernier, des suites d'un petit coup de froid qu'il ressentait depuis Lakota où il était aller enterrer son père, Franck Zoko Gnahé, le sécrétaire général de la section du Front populaire ivoirien de Washington DC, a été inhumé, le samedi 28 mars dernier au cimetière catholique de ladite ville en présence d'une inconsolable foule de parents, d'amis et de connaissances venus de tous les Etats-Unis d'Amérique.
C'est par une veillée que les obsèques de Franck Zoko ont commencé dans la capitale politique du pays de l'Oncle Sam. Une veillée rehaussée par la présence effective des ambassadeurs Kokora et Charles Koffi, mais aussi par de nombreux ivoiriens venus partager les derniers moments d'un homme tant adulé dans le milieu pour sa simplicité et ses rapports avec autrui. Cette nuit fut l'occasion de voir pour la dernière fois, le visage rayonnant (hélas) du “Général” qui, pour cet ultime moment était devenu l'homme de tout le monde. Oui ! ce fut l'occasion où toutes les divergences ont pu être mises sous le boisseau par les responsables des autres formations politiques, pour venir apporter la compassion à un frère avec qui ils ont bien sûr débattu sur des plateaux de télévision ou de radio, mais qui demeurait après tout, un compatriote dont la famille avait éminemment besoin de leur support en cette période douloureuse. Moussa Koné, Diomandé Moussa du Rdr, Brizoa Koissy du Pdci Washington et bien sûr Laurent Ibehi du FPI assurant l'intérim de Demba Traoré, Paul Amon de Afrikaplus tv, Jacque Roger de Radio Ivoire news, tous ont tenu à soutenir la famille de l'illustre disparu à cette veillée où de larges extraits d'émissions télévisées auxquelles Franck Zoko a participé, ont été projetés.
Après la messe de requiem qui a lieu, le samedi de 12h à 14h, la dernière étape de cet adieu fut le cimetière catholique de west Virginie, où la famille a decidé d'inhumer son fils mort dans des circonstances inexplicables.
Pour Charles Druid, cadre ivoirien membre de la représentation Fpi Usa “la mort de Franck Zoko est une grande perte pour cette formation politique dont il a contribué, avec un dévouement extraordinaire, au rayonnement à Washington. C'était un homme humble dont la disponibilté a permis de mantenir la flamme du parti à Washington DC. Il a toujours cru en ses idées depuis les heures chaudes jusqu'à aujourd'hui. Ce sera difficile de combler ce vide qu'il laisse”.
Il faut rappeler que, né en 1953 à Zokolilié, dans la sous-préfecture de Lakota, Franck Zoko, taxé en son temps d'agent recruteur du Fpi, sera licencié de son poste de responsable financier à la Caisse Autonome d'Amortissement en 1992 quand Léon Naka dirigeait cette structure. Conscient de ce que sa lutte porterait un jour des fruits, il restera intraitable dans ses convictions. Ceci le poussera à créer le quotidien “La Tribune du Banco” avec des amis avant d'immigrer aux Etats-Unis où il se donnera corps et âme à l'implantation du Front populaire ivoirien.
Hélas ! Franck Zoko s'en est allé, laissant derrière lui, une veuve et quatre charmantes filles qui apprendront désormais à affronter la dure realité d'une vie sans guide.
Que son âme repose en paix.
Correspondence particulière de Mathieu Bouabré: mattbouabre@yahoo.com
C'est par une veillée que les obsèques de Franck Zoko ont commencé dans la capitale politique du pays de l'Oncle Sam. Une veillée rehaussée par la présence effective des ambassadeurs Kokora et Charles Koffi, mais aussi par de nombreux ivoiriens venus partager les derniers moments d'un homme tant adulé dans le milieu pour sa simplicité et ses rapports avec autrui. Cette nuit fut l'occasion de voir pour la dernière fois, le visage rayonnant (hélas) du “Général” qui, pour cet ultime moment était devenu l'homme de tout le monde. Oui ! ce fut l'occasion où toutes les divergences ont pu être mises sous le boisseau par les responsables des autres formations politiques, pour venir apporter la compassion à un frère avec qui ils ont bien sûr débattu sur des plateaux de télévision ou de radio, mais qui demeurait après tout, un compatriote dont la famille avait éminemment besoin de leur support en cette période douloureuse. Moussa Koné, Diomandé Moussa du Rdr, Brizoa Koissy du Pdci Washington et bien sûr Laurent Ibehi du FPI assurant l'intérim de Demba Traoré, Paul Amon de Afrikaplus tv, Jacque Roger de Radio Ivoire news, tous ont tenu à soutenir la famille de l'illustre disparu à cette veillée où de larges extraits d'émissions télévisées auxquelles Franck Zoko a participé, ont été projetés.
Après la messe de requiem qui a lieu, le samedi de 12h à 14h, la dernière étape de cet adieu fut le cimetière catholique de west Virginie, où la famille a decidé d'inhumer son fils mort dans des circonstances inexplicables.
Pour Charles Druid, cadre ivoirien membre de la représentation Fpi Usa “la mort de Franck Zoko est une grande perte pour cette formation politique dont il a contribué, avec un dévouement extraordinaire, au rayonnement à Washington. C'était un homme humble dont la disponibilté a permis de mantenir la flamme du parti à Washington DC. Il a toujours cru en ses idées depuis les heures chaudes jusqu'à aujourd'hui. Ce sera difficile de combler ce vide qu'il laisse”.
Il faut rappeler que, né en 1953 à Zokolilié, dans la sous-préfecture de Lakota, Franck Zoko, taxé en son temps d'agent recruteur du Fpi, sera licencié de son poste de responsable financier à la Caisse Autonome d'Amortissement en 1992 quand Léon Naka dirigeait cette structure. Conscient de ce que sa lutte porterait un jour des fruits, il restera intraitable dans ses convictions. Ceci le poussera à créer le quotidien “La Tribune du Banco” avec des amis avant d'immigrer aux Etats-Unis où il se donnera corps et âme à l'implantation du Front populaire ivoirien.
Hélas ! Franck Zoko s'en est allé, laissant derrière lui, une veuve et quatre charmantes filles qui apprendront désormais à affronter la dure realité d'une vie sans guide.
Que son âme repose en paix.
Correspondence particulière de Mathieu Bouabré: mattbouabre@yahoo.com