Abidjan accueille depuis hier jeudi 2 avril 2009, la 20è réunion du bureau exécutif de l’association internationale des villes messagères de paix(Aivmp) à l’hôtel Pullman du Plateau.
Djédjé Amondji, gouverneur du district d’Abidjan, dans son allocution de bienvenue, s’est réjoui que la Côte d’Ivoire rejoigne le concert des villes messagères de paix après quelques années de secousse due à la crise. Selon lui, depuis 1985, Abidjan a été déclarée ville messagère de paix par les Nations Unies. Ce sont 90 villes qui ont reçu l’onction des Nations Unies pour être déclarées messagères de la paix, a-t-il conclu. Selon le président du bureau exécutif de l’association internationale des villes messagères de paix, Alfred Mader, il y a beaucoup de foyers de tension qui menacent la paix. Donc, les villes doivent développer une culture de paix et de négociations des crises. C’est pourquoi, a-t-il dit, l’Aivmp a demandé aux Nations Unies l’abolition des armes nucléaires à partir de 2010 et que la décennie du désarmement soit célébrée. “Nous devons développer une culture de paix car ce sont nos villes et leurs habitants qui sont les cibles des guerres”, a-t-il souligné. “Nous avons fait un travail de fond auprès des Nations Unies”, a-t-il ajouté. Pour le président Mader, les maires sont ouverts à la commémoration d’une journée de planting d’arbres, synonyme de paix. Quant à Parfait Gohorou, directeur de la décentralisation, représentant son ministre de tutelle, il a apporté tout le soutien du gouvernement ivoirien à la tenue de cette 20è réunion à Abidjan qui, du reste, symbolise la paix. “Nous demandons aux maires que les négociations soient patientes et remplacent les actions militaires”, a-t-il conseillé. Explorez de nouveaux chantiers, a-t-il conclu. C’est le ministre de la Ville et de la Salubrité urbaine, Mel Eg Théodore, qui a ouvert cette 20è réunion tout en disant que c’est parce que la Côte d’Ivoire a une culture de paix qu’elle est arrivée à surmonter la crise. Rappelons que cette association a été créée en 1985.
M.O
Djédjé Amondji, gouverneur du district d’Abidjan, dans son allocution de bienvenue, s’est réjoui que la Côte d’Ivoire rejoigne le concert des villes messagères de paix après quelques années de secousse due à la crise. Selon lui, depuis 1985, Abidjan a été déclarée ville messagère de paix par les Nations Unies. Ce sont 90 villes qui ont reçu l’onction des Nations Unies pour être déclarées messagères de la paix, a-t-il conclu. Selon le président du bureau exécutif de l’association internationale des villes messagères de paix, Alfred Mader, il y a beaucoup de foyers de tension qui menacent la paix. Donc, les villes doivent développer une culture de paix et de négociations des crises. C’est pourquoi, a-t-il dit, l’Aivmp a demandé aux Nations Unies l’abolition des armes nucléaires à partir de 2010 et que la décennie du désarmement soit célébrée. “Nous devons développer une culture de paix car ce sont nos villes et leurs habitants qui sont les cibles des guerres”, a-t-il souligné. “Nous avons fait un travail de fond auprès des Nations Unies”, a-t-il ajouté. Pour le président Mader, les maires sont ouverts à la commémoration d’une journée de planting d’arbres, synonyme de paix. Quant à Parfait Gohorou, directeur de la décentralisation, représentant son ministre de tutelle, il a apporté tout le soutien du gouvernement ivoirien à la tenue de cette 20è réunion à Abidjan qui, du reste, symbolise la paix. “Nous demandons aux maires que les négociations soient patientes et remplacent les actions militaires”, a-t-il conseillé. Explorez de nouveaux chantiers, a-t-il conclu. C’est le ministre de la Ville et de la Salubrité urbaine, Mel Eg Théodore, qui a ouvert cette 20è réunion tout en disant que c’est parce que la Côte d’Ivoire a une culture de paix qu’elle est arrivée à surmonter la crise. Rappelons que cette association a été créée en 1985.
M.O