Selon Rfi, le frère du Président togolais Faure Gnassingbé, Kpatcha Gnassingbé, ancien ministre de la Défense de 2005 à 2007, a échappé à une attaque à son domicile dans la nuit de dimanche à lundi.
Des hommes lourdement armés, à en croire des témoins, ont fait irruption chez lui et tiré sur sa maison. Kpatcha Gnassingbé accuse son propre beau-frère, le colonel Félix Katanga, commandant des Forces d’intervention rapide (Fir), d’être à l’origine de cette attaque.
Pour le Procureur de la République togolaise, Robert Bakaï, «des échanges de coups de feu ont eu lieu entre les services de sécurité et la garde de l’honorable député Kpatcha Gnassingbé» lors d’investigations liées à une tentative d’ «atteinte contre la sûreté de l’Etat» togolais. Dans un communiqué, Robert Bakaï affirme qu’à quelques heures du départ du Président Faure Gnassingbé à l’étranger, des actions étaient «en préparation». Le procureur révèle, par ailleurs, que des «présumés comploteurs», dont certains «militaires et des civils de l’entourage de l’honorable député Kpatcha Gnassingbé» devaient être entendus.
C’est dans le cadre de la préparation de ce complot que des gendarmes chargés de l’interpellation «ont essuyé des tirs nourris» en provenance de la maison de Kpatcha Gnassingbé.
L’enquête ouverte à cet effet a permis d’interpeller plusieurs personnes dont cinq officiers.
Ernest Aka Simon
Des hommes lourdement armés, à en croire des témoins, ont fait irruption chez lui et tiré sur sa maison. Kpatcha Gnassingbé accuse son propre beau-frère, le colonel Félix Katanga, commandant des Forces d’intervention rapide (Fir), d’être à l’origine de cette attaque.
Pour le Procureur de la République togolaise, Robert Bakaï, «des échanges de coups de feu ont eu lieu entre les services de sécurité et la garde de l’honorable député Kpatcha Gnassingbé» lors d’investigations liées à une tentative d’ «atteinte contre la sûreté de l’Etat» togolais. Dans un communiqué, Robert Bakaï affirme qu’à quelques heures du départ du Président Faure Gnassingbé à l’étranger, des actions étaient «en préparation». Le procureur révèle, par ailleurs, que des «présumés comploteurs», dont certains «militaires et des civils de l’entourage de l’honorable député Kpatcha Gnassingbé» devaient être entendus.
C’est dans le cadre de la préparation de ce complot que des gendarmes chargés de l’interpellation «ont essuyé des tirs nourris» en provenance de la maison de Kpatcha Gnassingbé.
L’enquête ouverte à cet effet a permis d’interpeller plusieurs personnes dont cinq officiers.
Ernest Aka Simon
