La guerre des conseillers est sortie de l`ombre de la primature, à Abidjan, et du Secrétariat général des Fn, à Bouaké, pour se projeter au grand jour. Chacun à son petit niveau veut montrer qu`il est " quelqu`un ", " un pion essentiel " dans le dispositif Soro et qu`il y reste et demeure incontournable. En atteste la sortie musclée de Zoro Bi Michel conseiller spécial du Secrétaire général des Forces nouvelles chargé des affaires humanitaires, hier, et rendue publique par un confrère de la place. "Celui (Sékongo Félicien, ndlr) qui tient ces propos n`est pas conséquent avec lui-même et aussi il n`est pas habilité à dire qui est où et qui n`est pas membre des Fn ". A soutenu Zoro Bi Michel.
Des propos qui battent en brèche les assertions d`un autre conseiller du Secrétaire général des Forces nouvelles, celui-là chargé des Ong, des associations, des syndicats et des communautés religieuses. Sékongo Félicien déniait, en effet, à Méité Sindou le Porte-parole du Premier ministre la responsabilité de parler au nom de toutes les Forces nouvelles. " Les propos de Méité Sindou n`engagent que sa personne et sa fonction de porte-parole du Premier ministre (…) Méité Sindou n`est pas membre du directoire politique ; ni membre du cabinet du Secrétaire général et il n`appartient à aucune structure des Forces nouvelles ". Avait-il dénoncé depuis Bouaké où il animait une conférence de presse relative aux propos du porte-parole du Secrétaire général de l`ex-rébellion des Fn qui eux-mêmes sont consécutifs à la sortie des Délégués des Fn qui demandaient à Guillaume Soro de démissionner de son poste de Premier ministre. Sékongo Félicien avait semblé avoir le soutien de certains membres influents du directoire politique des Forces nouvelles. Puisque le jour suivant sa sortie, Alain Lobognon Directeur de la communication et membre de la délégation Fn au Cea, signait un communiqué. Lequel avait semblé lui également apporter son soutien tacite au partisan des délégués qu`est Sékongo Félicien et, rétablir les choses dans leur cadre initial. " Il importe d`indiquer que l`appel des délégués a bien été noté par le Secrétaire général, le Premier ministre Guillaume Soro." L`opinion nationale en était à ce communiqué (officiel des Fn) qui sonnait comme un désaveu au passif du porte-parole du Premier ministre, Méité Sindou. Quand subitement, un son de cloche se fait entendre, celui du conseiller spécial du Secrétaire général des Forces nouvelles, chargé des affaires humanitaires. Zoro Bi Michel, c`est de lui qu`il s`agit, a tiré à dia. " Celui (Sékongo Félicien, ndlr) qui tient ces propos n`est pas conséquent avec lui-même et aussi il n`est pas habilité à dire qui est où et qui n`est pas membre des Fn. On n`est pas seulement membre des Fn parce qu`on est assis à Bouaké. Celui qui tient ces propos ne connaît pas Méité (Sindou) et ne maîtrise pas le phénomène Forces nouvelles ". La guerre des conseillers autour de Guillaume Soro ne fait que commencer. Elle couvait depuis un moment, entre Alain Lobognon parton de la communication des Forces nouvelles et Méité Sindou porte-parole. Le premier cité avait par moments, l`impression de se faire déborder par le second qu`il considère, selon des indiscrétions comme " un intrus, un arriviste " dans un pré carré qui ne lui a jamais été familier et dont il récolte des fruits juteux. Il faut dire que l`avènement de Méité Sindou au Porte-parolat de Guillaume Soro et ses sorties dans les rendez-vous hebdomadaires de la Primature commençaient à faire ombrage à Alain Lobognon. Ce qui, par exaspération, amenait souvent aux proches de Lobognon à s`interroger en ces termes : " mais celui-là où était-il quand on commençait notre lutte ! "
Simplice Allard al08062317@yahoo.fr
Des propos qui battent en brèche les assertions d`un autre conseiller du Secrétaire général des Forces nouvelles, celui-là chargé des Ong, des associations, des syndicats et des communautés religieuses. Sékongo Félicien déniait, en effet, à Méité Sindou le Porte-parole du Premier ministre la responsabilité de parler au nom de toutes les Forces nouvelles. " Les propos de Méité Sindou n`engagent que sa personne et sa fonction de porte-parole du Premier ministre (…) Méité Sindou n`est pas membre du directoire politique ; ni membre du cabinet du Secrétaire général et il n`appartient à aucune structure des Forces nouvelles ". Avait-il dénoncé depuis Bouaké où il animait une conférence de presse relative aux propos du porte-parole du Secrétaire général de l`ex-rébellion des Fn qui eux-mêmes sont consécutifs à la sortie des Délégués des Fn qui demandaient à Guillaume Soro de démissionner de son poste de Premier ministre. Sékongo Félicien avait semblé avoir le soutien de certains membres influents du directoire politique des Forces nouvelles. Puisque le jour suivant sa sortie, Alain Lobognon Directeur de la communication et membre de la délégation Fn au Cea, signait un communiqué. Lequel avait semblé lui également apporter son soutien tacite au partisan des délégués qu`est Sékongo Félicien et, rétablir les choses dans leur cadre initial. " Il importe d`indiquer que l`appel des délégués a bien été noté par le Secrétaire général, le Premier ministre Guillaume Soro." L`opinion nationale en était à ce communiqué (officiel des Fn) qui sonnait comme un désaveu au passif du porte-parole du Premier ministre, Méité Sindou. Quand subitement, un son de cloche se fait entendre, celui du conseiller spécial du Secrétaire général des Forces nouvelles, chargé des affaires humanitaires. Zoro Bi Michel, c`est de lui qu`il s`agit, a tiré à dia. " Celui (Sékongo Félicien, ndlr) qui tient ces propos n`est pas conséquent avec lui-même et aussi il n`est pas habilité à dire qui est où et qui n`est pas membre des Fn. On n`est pas seulement membre des Fn parce qu`on est assis à Bouaké. Celui qui tient ces propos ne connaît pas Méité (Sindou) et ne maîtrise pas le phénomène Forces nouvelles ". La guerre des conseillers autour de Guillaume Soro ne fait que commencer. Elle couvait depuis un moment, entre Alain Lobognon parton de la communication des Forces nouvelles et Méité Sindou porte-parole. Le premier cité avait par moments, l`impression de se faire déborder par le second qu`il considère, selon des indiscrétions comme " un intrus, un arriviste " dans un pré carré qui ne lui a jamais été familier et dont il récolte des fruits juteux. Il faut dire que l`avènement de Méité Sindou au Porte-parolat de Guillaume Soro et ses sorties dans les rendez-vous hebdomadaires de la Primature commençaient à faire ombrage à Alain Lobognon. Ce qui, par exaspération, amenait souvent aux proches de Lobognon à s`interroger en ces termes : " mais celui-là où était-il quand on commençait notre lutte ! "
Simplice Allard al08062317@yahoo.fr
