Maintes fois annoncé et plusieurs fois reporté, le document réalisé par le comité technique sur la fluidité des transports terrestres est fin prêt. Sa présentation officielle se fera dans quelques jours. Ce document pour l’heure, frappé du sceau de confidentialité est sur la table du ministre des Transports, Albert Mabri Toikeusse pour appréciation.
Dans le cadre de la mise en œuvre des mesures visant à obtenir une meilleure fluidité routière, il est créé un Comité de suivi des barrages routiers placé sous l’autorité du Conseil d’orientation créé par décret. Ce comité est chargé :
De l’analyse et du diagnostic de l’environnement des barrages routiers,
De l’élaboration d’une stratégie efficace de contrôle routier et du suivi de son exécution ;
Du contrôle du fonctionnement des barrages autorisés, du démantèlement des barrages non autorisés et de la répression des Agents contrevenants ;
De la mise en place des conditions de la fluidité routière par la prévention et l’élimination des encombrements sur les routes. Par ailleurs, le secrétariat du comité est assuré par le Comité National de Facilitation des Transports et se réunit une fois par mois sur convocation de son Président. Le Comité a sous son autorité des Brigades de surveillances des barrages routiers.
Chaque Brigade est composé comme suit :
Un représentant de l’Observatoire de la Fluidité des Transports ;
Un représentant de l’Office ivoirien des chargeurs ;
Un représentant de la gendarmerie nationale et ;
Un représentant de la Police nationale.
Cependant, le représentant de l’Observatoire de la fluidité des transports assure la gestion administrative et financière de la Brigade. La cellule de coordination dispose d’un centre d’écoute et d’un numéro vert pour recueillir les plaintes et dénonciations des usagers.
Au terme du travail effectué par les experts, voici le nombre de barrages qui sauf modification sera autorisé sur l’étendue du territoire.
Axe ABIDJAN- BOUAKE- POGO
GESCO, BOUAKE, OUANGOLO, POGO
Axe ABIDJAN- BOUAKE- LALERABA
GESCO, BOUAKE, OUANGOLO, LALERABA
Axe ABIDJAN- NOE
ADJOUFFOU, CARREFOUR SAYKRO, NOE
Axe ABIDJAN- SAN PEDRO-TABOU
SONGON, SAN-PEDRO, TABOU
Axe ABIDJAN-BONDOUKOU-BOUNA- DOROPO
ANYAMA, BONDOUKOU
DOROPO
Axe ABIDJAN –GAGNOA-DUEKOUE
GESCO, GAGNOA, DUEKOUE
Axe SAN-PEDRO -MAN-MINIGNAN
SAN PEDRO, DUEKOUE
MAN, MINIGNAN
Axe DUEKOUE-BLOLEQUIN-TOULEPLEU
GUIGLO, TOULEPLEU
Axe SAN PEDRO-GAGNOA-YAMOUSSOUKRO
SAN PEDRO, GAGNOA
Axe ISSIA-DALOA-SEGUELA-TENGRELA
VAVOUA, BOUNDIALI,
TENGRELA.
Toutefois, il reste entendu que tous les postes frontaliers sont des points de contrôles obligatoires.
Dans le cas spécifique de la ville d’Abidjan, aucun barrage n’est autorisé sur les dix communes d’Abidjan de 6 H à 19 H. Cet arrêté interministériel portant création du comité de suivi des barrages routiers sera signé par les ministres des Transports, de la Défense, de l’Intérieur, de l’Economie et des Finances et de l’Environnement, des Eaux et Forêts. “La Côte d’Ivoire a une clientèle à préserver”, a dit le Premier ministre Guillaume Soro, à Bouaké le 25 mars 2009 au cours de la rencontre des professionnels des transports terrestres et d’une dizaine de ses ministres dans le cadre de la fluidité des transports. Le document tant attendu est là. Reste la volonté politique pour rendre compétitif l’économie ivoirienne.
Sériba Koné
seriba67@yahoo.fr
Dans le cadre de la mise en œuvre des mesures visant à obtenir une meilleure fluidité routière, il est créé un Comité de suivi des barrages routiers placé sous l’autorité du Conseil d’orientation créé par décret. Ce comité est chargé :
De l’analyse et du diagnostic de l’environnement des barrages routiers,
De l’élaboration d’une stratégie efficace de contrôle routier et du suivi de son exécution ;
Du contrôle du fonctionnement des barrages autorisés, du démantèlement des barrages non autorisés et de la répression des Agents contrevenants ;
De la mise en place des conditions de la fluidité routière par la prévention et l’élimination des encombrements sur les routes. Par ailleurs, le secrétariat du comité est assuré par le Comité National de Facilitation des Transports et se réunit une fois par mois sur convocation de son Président. Le Comité a sous son autorité des Brigades de surveillances des barrages routiers.
Chaque Brigade est composé comme suit :
Un représentant de l’Observatoire de la Fluidité des Transports ;
Un représentant de l’Office ivoirien des chargeurs ;
Un représentant de la gendarmerie nationale et ;
Un représentant de la Police nationale.
Cependant, le représentant de l’Observatoire de la fluidité des transports assure la gestion administrative et financière de la Brigade. La cellule de coordination dispose d’un centre d’écoute et d’un numéro vert pour recueillir les plaintes et dénonciations des usagers.
Au terme du travail effectué par les experts, voici le nombre de barrages qui sauf modification sera autorisé sur l’étendue du territoire.
Axe ABIDJAN- BOUAKE- POGO
GESCO, BOUAKE, OUANGOLO, POGO
Axe ABIDJAN- BOUAKE- LALERABA
GESCO, BOUAKE, OUANGOLO, LALERABA
Axe ABIDJAN- NOE
ADJOUFFOU, CARREFOUR SAYKRO, NOE
Axe ABIDJAN- SAN PEDRO-TABOU
SONGON, SAN-PEDRO, TABOU
Axe ABIDJAN-BONDOUKOU-BOUNA- DOROPO
ANYAMA, BONDOUKOU
DOROPO
Axe ABIDJAN –GAGNOA-DUEKOUE
GESCO, GAGNOA, DUEKOUE
Axe SAN-PEDRO -MAN-MINIGNAN
SAN PEDRO, DUEKOUE
MAN, MINIGNAN
Axe DUEKOUE-BLOLEQUIN-TOULEPLEU
GUIGLO, TOULEPLEU
Axe SAN PEDRO-GAGNOA-YAMOUSSOUKRO
SAN PEDRO, GAGNOA
Axe ISSIA-DALOA-SEGUELA-TENGRELA
VAVOUA, BOUNDIALI,
TENGRELA.
Toutefois, il reste entendu que tous les postes frontaliers sont des points de contrôles obligatoires.
Dans le cas spécifique de la ville d’Abidjan, aucun barrage n’est autorisé sur les dix communes d’Abidjan de 6 H à 19 H. Cet arrêté interministériel portant création du comité de suivi des barrages routiers sera signé par les ministres des Transports, de la Défense, de l’Intérieur, de l’Economie et des Finances et de l’Environnement, des Eaux et Forêts. “La Côte d’Ivoire a une clientèle à préserver”, a dit le Premier ministre Guillaume Soro, à Bouaké le 25 mars 2009 au cours de la rencontre des professionnels des transports terrestres et d’une dizaine de ses ministres dans le cadre de la fluidité des transports. Le document tant attendu est là. Reste la volonté politique pour rendre compétitif l’économie ivoirienne.
Sériba Koné
seriba67@yahoo.fr