x Télécharger l'application mobile Abidjan.net Abidjan.net partout avec vous
Télécharger l'application
INSTALLER
PUBLICITÉ

Politique Publié le mercredi 22 avril 2009 | Notre Voie

Le rôle déterminant du SEGAD-Sud et du Comité de médiation

La cérémonie de réconciliation organisée, samedi dernier à Soubré, est le résultat d’une synergie d’actions menées par plusieurs acteurs.

Au nombre de ceux-ci, figure en bonne place, le président Pascal Affi N’Guessan, le comité de médiation présidé par le professeur Christophe Wondji et le Secrétariat général- adjoint du FPI chargé des départements du Sud (SEGAD-Sud) que dirige la ministre Odette Likikouet Sauyet. Mis en mission par le président du parti à l’effet de ramener la paix à Soubré, Mme Sauyet et ses collaborateurs n’ont ménagé aucun effort pour travailler à la réconciliation.

Le SEGAD-Sud est allé à la rencontre de tous les protagonistes pour véhiculer le message d’unité et de paix. Odette Sauyet s’est personnellement investie pour trouver un dénouement heureux à cette crise qui menaçait sérieusement les intérêts du FPI dans sa zone de compétence.
Pendant plus d’un an, elle a conduit plusieurs missions sur le terrain, convoqué plusieurs séances de travail et autres réunions de sensibilisation pour tenter de concilier les positions.
Dans la recherche de solutions à la crise, la première responsable du SEGAD-Sud n’a eu de cesse de rappeler les piliers sur lesquels repose le FPI. A savoir l’union, le respect des textes, des structures du parti et des personnes qui les incarnent.

Au cours de la cérémonie de la paix, elle a appelé les militants de Soubré à se mobiliser pour relever les défis qui attendent le parti. “Ce n’est pas au moment où le parti a besoin de toute sa sérénité pour faire face aux vents contraires engendrés par les Forces Nouvelles
et par les autres partis politiques d’opposition, pour gagner les batailles à venir que nous devons nous entredéchirer par des mots qui blessent, par des actions qui nous desservent, par des actes qui effritent notre union et par des ambitions qui fragilisent le fonctionnement de nos structures”, a-t-elle plaidé.

Le comité de médiation du professeur Christophe Wondji a aussi tiré son épingle du jeu. “Le doyen”, comme ses frères de Soubré l’appellent affectueusement, a travaillé des nuits et des jours, pour restaurer l’unité des fils de Soubré. Le processus de paix a bénéficié également du soutien des chefs traditionnels et religieux de Soubré.

J.D.
PUBLICITÉ
PUBLICITÉ

Playlist Politique

Toutes les vidéos Politique à ne pas rater, spécialement sélectionnées pour vous

PUBLICITÉ