Des structures membres de l’Organisation pour la commercialisation de l’ananas et de la banane (OCAB), notamment Sofitel-ci, Cofruibo, Caderu, Scadi, Eitima, Cofab, Banador, Socofruit, SCB, dénoncent “une dérive inadmissible au sein d’une organisation régie par des textes de portée claire et univoque et dont l’interprétation relève en tout état de la compétence des autorités judiciaires en cas de litige”. Dans une déclaration qui nous est parvenue hier, ces organisations appellent au respect des textes régissant leur organisation, en l’occurrence l’Organisation ananas et banane.
“Indépendamment de la procédure judiciaire en cours, dont il convient d’attendre l’issue, en toute responsabilité et légalité, il nous paraît que fondamentalement l’assemblée générale du 28 avril 2009 de l’OCAB reste et demeure l’organe supérieur dont émane la légitimité des organes représentants que sont les administrateurs réunis au sein du conseil d’administration, présidé par le président dudit conseil.
Aucune précipitation, ni passage en force ne saurait l’emporter sur la voix populaire qui s’exprimera au cours de l’assemblée générale du 28 avril 2009, appelée à se prononcer sur la gestion du bureau du conseil sortant, à lui donner quitus, désigner les nouveaux administrateurs qui constitueront le nouveau bureau et organiser la passation des charges entre le bureau entrant et celui sortant dont fait partie au demeurant la plupart des membres du collège d’administrateurs.
C’est pourquoi les personnes responsables de tous les préjudices causés à l’organisation et aux intérêts spécifiques de ses membres répondront devant la justice de chacun des actes commis au mépris de la loi, des statuts, et du règlement intérieur de l’OCAB, qui n’ont pas prévu d’hypothèse de restructuration du conseil d’administration, par les membres du même conseil, réunis dans le cadre d’un collège.
Seul le respect des textes garantit la crédibilité de l’organisation et l’autorité des organes de gestion dont l a stabilité constitue un gage de sérieux, indispensable à la poursuite des objectifs de l’association.
Toute autre attitude ouvrirait la porte à l’éclatement de l’OCAB et à la destruction des acquis de l’organisation ”, notent-elles. En clair selon ces organisations, l’assemblée générale prévue pour le 28 avril prochain est la seule Tribune offerte à “la conduite d’un débat démocratique sur les thèmes et préoccupations économiques des sociétaires mobilisés pour relever les vrais défis auxquels est confrontée l’organisation, qui ne peut s’engager sur les chemins incertains de l’aventurisme déstabilisateur”. Ainsi, recommandent-ils le “maintien en leur état, des organes représentatifs de l’OCAB et, à tout le moins, le respect des décisions judiciaires à venir”.
J-S L.
“Indépendamment de la procédure judiciaire en cours, dont il convient d’attendre l’issue, en toute responsabilité et légalité, il nous paraît que fondamentalement l’assemblée générale du 28 avril 2009 de l’OCAB reste et demeure l’organe supérieur dont émane la légitimité des organes représentants que sont les administrateurs réunis au sein du conseil d’administration, présidé par le président dudit conseil.
Aucune précipitation, ni passage en force ne saurait l’emporter sur la voix populaire qui s’exprimera au cours de l’assemblée générale du 28 avril 2009, appelée à se prononcer sur la gestion du bureau du conseil sortant, à lui donner quitus, désigner les nouveaux administrateurs qui constitueront le nouveau bureau et organiser la passation des charges entre le bureau entrant et celui sortant dont fait partie au demeurant la plupart des membres du collège d’administrateurs.
C’est pourquoi les personnes responsables de tous les préjudices causés à l’organisation et aux intérêts spécifiques de ses membres répondront devant la justice de chacun des actes commis au mépris de la loi, des statuts, et du règlement intérieur de l’OCAB, qui n’ont pas prévu d’hypothèse de restructuration du conseil d’administration, par les membres du même conseil, réunis dans le cadre d’un collège.
Seul le respect des textes garantit la crédibilité de l’organisation et l’autorité des organes de gestion dont l a stabilité constitue un gage de sérieux, indispensable à la poursuite des objectifs de l’association.
Toute autre attitude ouvrirait la porte à l’éclatement de l’OCAB et à la destruction des acquis de l’organisation ”, notent-elles. En clair selon ces organisations, l’assemblée générale prévue pour le 28 avril prochain est la seule Tribune offerte à “la conduite d’un débat démocratique sur les thèmes et préoccupations économiques des sociétaires mobilisés pour relever les vrais défis auxquels est confrontée l’organisation, qui ne peut s’engager sur les chemins incertains de l’aventurisme déstabilisateur”. Ainsi, recommandent-ils le “maintien en leur état, des organes représentatifs de l’OCAB et, à tout le moins, le respect des décisions judiciaires à venir”.
J-S L.