A travers cet entretien, Emolo Claude, président de la coordination nationale du grand conseil du Pdci, fait le point partiel de la tournée que les membres de cette instance du Pdci ont initiée il y a un peu plus d'une semaine. Il exprime sa satisfaction quant au déroulement de cette mission avant d'inviter les délégués à une franche collaboration. Il traduit également la nécessité de réussir cette mission pour garantir la victoire de son parti aux prochaines élections avec Aimé Henri Konan Bédié.
M. le coordonnateur du grand conseil, votre instance a démarré depuis le week-end dernier une tournée dans les différentes délégations de votre parti dans le district d'Abidjan. Est-ce que vous pouvez nous faire aujourd'hui un point à mi parcours de votre action ?
Il est un peu trop tôt de faire un bilan maintenant. Mais je puis vous dire que les missions que nous avons envoyées sur le terrain ont été accueillies avec enthousiasme, vu le contenu du programme que nous avons proposé à mesdames et messieurs les délégués communaux et départementaux. C'est une mission qui va s'étendre dans toutes nos bases sur l'ensemble du territoire national. Comprenez qu'elle démarre timidement. Nous sommes encore dans les débuts. Et compte tenu de la tournée du président de notre parti, qui a mobilisé un certain nombre de délégués, nous n'avons pas pu respecter exactement le programme que nous nous sommes donné. Il y a quelques petits retards que nous sommes en train de rattraper. Néanmoins, la tournée se poursuit et elle est accueillie avec enthousiasme comme je l'ai dit plus haut, à cause de son contenu qui est en rapport avec les élections et qui est en conformité avec la situation que nous vivons.
Pouvez-vous faire un bref rappel du contenu de ce programme ?
Le programme part des opérations d'identification à la situation sociopolitique en passant par le réarmement moral, le recueillement des suggestions à la mobilisation des troupes à la base. C'est une mission qui porte sur huit points. Mais souffrez que je ne les détaille pas ici. C'est un contenu assez intéressant qui colle à la réalité. Et je pense que les délégués ont la primeur du contenu de cette mission qui en fait, est en rapport avec les élections qui se profilent à l'horizon. Nous sommes donc sur le terrain pour préparer les élections.
Etes-vous vraiment satisfait du déroulement de la mission dans toutes les délégations ?
Comme je vous l'ai dit, l'accueil est enthousiaste. Les délégués ont adhéré ainsi que les militants à la base. Sauf que les militants ont déploré que nous venions un tout petit peu en retard. Sur le terrain, c'est déjà très bon pourvu que les gens puissent nous faire parvenir dans les délais ce que nous leur demandons.
Vous dites que les militants ont déploré le fait que vous êtes venus un peu tard. N'êtes-vous pas d'avis avec eux?
Je dis qu'il n'est pas encore trop tard parce que nous sommes encore dans la phase de l'identification. Ils ont dit qu'on aurait dû venir un peu plus tôt mais nous sommes encore dans le temps. En fait, ce sont des choses auxquelles ils s'attendaient mais qui a mis du temps à se matérialiser sur le terrain. Toutefois, ils rentrent de plain-pied dans la danse. Partout où nous sommes passés, les délégations se sont mises au travail.
Interview réalisée
par François Bécanthy
M. le coordonnateur du grand conseil, votre instance a démarré depuis le week-end dernier une tournée dans les différentes délégations de votre parti dans le district d'Abidjan. Est-ce que vous pouvez nous faire aujourd'hui un point à mi parcours de votre action ?
Il est un peu trop tôt de faire un bilan maintenant. Mais je puis vous dire que les missions que nous avons envoyées sur le terrain ont été accueillies avec enthousiasme, vu le contenu du programme que nous avons proposé à mesdames et messieurs les délégués communaux et départementaux. C'est une mission qui va s'étendre dans toutes nos bases sur l'ensemble du territoire national. Comprenez qu'elle démarre timidement. Nous sommes encore dans les débuts. Et compte tenu de la tournée du président de notre parti, qui a mobilisé un certain nombre de délégués, nous n'avons pas pu respecter exactement le programme que nous nous sommes donné. Il y a quelques petits retards que nous sommes en train de rattraper. Néanmoins, la tournée se poursuit et elle est accueillie avec enthousiasme comme je l'ai dit plus haut, à cause de son contenu qui est en rapport avec les élections et qui est en conformité avec la situation que nous vivons.
Pouvez-vous faire un bref rappel du contenu de ce programme ?
Le programme part des opérations d'identification à la situation sociopolitique en passant par le réarmement moral, le recueillement des suggestions à la mobilisation des troupes à la base. C'est une mission qui porte sur huit points. Mais souffrez que je ne les détaille pas ici. C'est un contenu assez intéressant qui colle à la réalité. Et je pense que les délégués ont la primeur du contenu de cette mission qui en fait, est en rapport avec les élections qui se profilent à l'horizon. Nous sommes donc sur le terrain pour préparer les élections.
Etes-vous vraiment satisfait du déroulement de la mission dans toutes les délégations ?
Comme je vous l'ai dit, l'accueil est enthousiaste. Les délégués ont adhéré ainsi que les militants à la base. Sauf que les militants ont déploré que nous venions un tout petit peu en retard. Sur le terrain, c'est déjà très bon pourvu que les gens puissent nous faire parvenir dans les délais ce que nous leur demandons.
Vous dites que les militants ont déploré le fait que vous êtes venus un peu tard. N'êtes-vous pas d'avis avec eux?
Je dis qu'il n'est pas encore trop tard parce que nous sommes encore dans la phase de l'identification. Ils ont dit qu'on aurait dû venir un peu plus tôt mais nous sommes encore dans le temps. En fait, ce sont des choses auxquelles ils s'attendaient mais qui a mis du temps à se matérialiser sur le terrain. Toutefois, ils rentrent de plain-pied dans la danse. Partout où nous sommes passés, les délégations se sont mises au travail.
Interview réalisée
par François Bécanthy