Les informaticiens du secteur public de Côte d’Ivoire organisent leur deuxième congrès les 26 et 27 mai prochains au Conseil économique et social. Ainsi en a décidé le bureau du Syndicat national des informaticiens du secteur public (Syninfci) dont le secrétaire général, Monin Monin Marc, a donné une conférence de presse, récemment, à la Société nationale de développement informatique (Sndi), au Plateau. Les décisions majeures qui engagent le syndicat et les nouvelles orientations de la lutte syndicale seront examinées au cours de ce congrès qui verra également l’élection du nouveau secrétaire général. En attendant, le bureau sortant qui présentera, selon M. Monin, un candidat, a défendu son bilan. “Les principaux acquis sont la pérennisation des primes et indemnités en 1991, l’intégration des agents temporaires, l’obtention des concours directs aux emplois informatiques, le paiement d’indemnités d’incitation”, a-t-il souligné. Même s’il admet que des batailles restent à gagner, notamment la revalorisation des primes et indemnités, une nouvelle grille indiciaire, la création d’un organe de coordination et d’orientation de la politique gouvernementale dans le domaine de l’informatique.
Il a donc appelé à la mobilisation de tous les informaticiens du secteur public pour participer activement aux travaux de ce congrès dont le thème est : “Ensemble pour un Syninfci fort dans une administration en période de réconciliation”. D’ailleurs, a insisté M. Monin, «tout informaticien du secteur public qui s’est acquitté de son droit de participation au congrès peut faire acte de candidature et voter».
Créé en 1990, le Syninfci devait organiser son deuxième congrès, conformément aux textes, en 2000, le premier congrès ayant eu lieu en septembre 1997. “Mais compte tenu de la crise que traverse le pays depuis 1999, il était quasiment impossible pour un syndicat responsable de tenir un congrès. La situation est désormais favorable”, s’est-il justifié.
D.K.
Il a donc appelé à la mobilisation de tous les informaticiens du secteur public pour participer activement aux travaux de ce congrès dont le thème est : “Ensemble pour un Syninfci fort dans une administration en période de réconciliation”. D’ailleurs, a insisté M. Monin, «tout informaticien du secteur public qui s’est acquitté de son droit de participation au congrès peut faire acte de candidature et voter».
Créé en 1990, le Syninfci devait organiser son deuxième congrès, conformément aux textes, en 2000, le premier congrès ayant eu lieu en septembre 1997. “Mais compte tenu de la crise que traverse le pays depuis 1999, il était quasiment impossible pour un syndicat responsable de tenir un congrès. La situation est désormais favorable”, s’est-il justifié.
D.K.
