Les travaux pour l’usage du métro léger à Abidjan vont démarrer dans environ 5 ans. Le ministre des Infrastructures économiques, Patrick Achi, en a fait la promesse le mercredi dernier, à l’hôtel Tiama, à Abidjan-Plateau, lors de la restitution des travaux des études de faisabilité du train urbain à Abidjan. Le projet qui a trois phases a un coût de 125 milliards FCFA. Le circuit est long de 32 km.
Le ministre Patrick Achi a indiqué que le fonds d’étude du projet pose un problème de 9 milliards FCFA et que l’Etat a un an pour mobiliser les ressources de la première phase. Il a révélé que la Côte d’Ivoire est souvent prête à recevoir des financements pour des projets mais il se trouve que les études ne sont pas disponibles. “C’est en cela que nous devons établir le schéma directeur du réseau routier pour plus de prospective”, a-t-il dit. Il a rassuré que des investisseurs sont disposés à financer le projet de métro léger. Il a reconnu que le réseau routier n’est plus en phase avec le trafic et qu’avec les 5 millions d’habitants que Abidjan va avoir, le projet est opportun pour transporter les populations.
Le représentant de la Société des transports de Tunis (SCET), Kamel Talbi, a indiqué que le projet va permettre de transporter 500000 voyageurs par jour. A l’en croire, ce sont 55 trains qui vont transporter les populations à 80 km par heure. La première phase, a-t-il dit, partira d’Adjamé à Yopougon. La seconde d’Adjamé à Abobo. Et la dernière d’Adjamé à Port Bouët. Les travaux de la première phase selon lui peuvent durer environ 36 mois. Il a précisé que les transports terrestres à Abidjan convoient 2,5 millions de voyageurs par jour.
Gomon Edmond
Le ministre Patrick Achi a indiqué que le fonds d’étude du projet pose un problème de 9 milliards FCFA et que l’Etat a un an pour mobiliser les ressources de la première phase. Il a révélé que la Côte d’Ivoire est souvent prête à recevoir des financements pour des projets mais il se trouve que les études ne sont pas disponibles. “C’est en cela que nous devons établir le schéma directeur du réseau routier pour plus de prospective”, a-t-il dit. Il a rassuré que des investisseurs sont disposés à financer le projet de métro léger. Il a reconnu que le réseau routier n’est plus en phase avec le trafic et qu’avec les 5 millions d’habitants que Abidjan va avoir, le projet est opportun pour transporter les populations.
Le représentant de la Société des transports de Tunis (SCET), Kamel Talbi, a indiqué que le projet va permettre de transporter 500000 voyageurs par jour. A l’en croire, ce sont 55 trains qui vont transporter les populations à 80 km par heure. La première phase, a-t-il dit, partira d’Adjamé à Yopougon. La seconde d’Adjamé à Abobo. Et la dernière d’Adjamé à Port Bouët. Les travaux de la première phase selon lui peuvent durer environ 36 mois. Il a précisé que les transports terrestres à Abidjan convoient 2,5 millions de voyageurs par jour.
Gomon Edmond