Le président américain a prononcé un discours, hier, à l’Université du Caire, en égypte.
A l’Université du Caire, en Egypte, le président américain, Barack Obama, a prononcé un discours de réconciliation entre les Etats-Unis et le milliard de musulmans à travers le monde.
«Je suis venu ici pour rechercher un nouveau départ entre les Etats-Unis et les musulmans du monde entier, fondé sur l’intérêt commun et le respect mutuel», a-t-il plaidé, rapporte France 24. Pour Obama, le cycle du soupçon et de la discorde doit prendre fin.
Le président américain a évoqué, par ailleurs, la situation en Cisjordanie. Encore une fois, il a redit son opposition aux colonies juives et réitéré son engagement en faveur de la création d’un Etat palestinien, voisin d’Israël. La solution du conflit israélo-palestinien à deux Etats étant, selon lui, «dans l’intérêt d’Israël, dans l’intérêt de la Palestine, dans l’intérêt de l’Amérique, dans l’intérêt du monde entier».
Concernant l’Irak et l’Afghanistan, le président américain rassure. L’Amérique ne maintiendra pas indéfiniment ses troupes dans ces pays. Il a reconnu, du reste, à l’Iran le droit de se doter du nucléaire civil. Mais a estimé qu’une course aux armements nucléaires au Proche-Orient pourrait entraîner la région dans «une voie extrêmement dangereuse». Le discours de Barack Obama, qui s’est envolé par la suite pour l’Allemagne, a été plusieurs fois interrompu par des applaudissements nourris et des «nous vous aimons», note Reuters.
Ernest Aka Simon
A l’Université du Caire, en Egypte, le président américain, Barack Obama, a prononcé un discours de réconciliation entre les Etats-Unis et le milliard de musulmans à travers le monde.
«Je suis venu ici pour rechercher un nouveau départ entre les Etats-Unis et les musulmans du monde entier, fondé sur l’intérêt commun et le respect mutuel», a-t-il plaidé, rapporte France 24. Pour Obama, le cycle du soupçon et de la discorde doit prendre fin.
Le président américain a évoqué, par ailleurs, la situation en Cisjordanie. Encore une fois, il a redit son opposition aux colonies juives et réitéré son engagement en faveur de la création d’un Etat palestinien, voisin d’Israël. La solution du conflit israélo-palestinien à deux Etats étant, selon lui, «dans l’intérêt d’Israël, dans l’intérêt de la Palestine, dans l’intérêt de l’Amérique, dans l’intérêt du monde entier».
Concernant l’Irak et l’Afghanistan, le président américain rassure. L’Amérique ne maintiendra pas indéfiniment ses troupes dans ces pays. Il a reconnu, du reste, à l’Iran le droit de se doter du nucléaire civil. Mais a estimé qu’une course aux armements nucléaires au Proche-Orient pourrait entraîner la région dans «une voie extrêmement dangereuse». Le discours de Barack Obama, qui s’est envolé par la suite pour l’Allemagne, a été plusieurs fois interrompu par des applaudissements nourris et des «nous vous aimons», note Reuters.
Ernest Aka Simon
