Le Réseau d’action sur les armes légères en Afrique de l’Ouest, section Côte d’Ivoire (RASALAO-CI), en partenariat avec Amnesty international, a organisé, hier, une conférence sur le Traité international sur le commerce des armes (TCA) à l’hôtel du District, au Plateau. L’évènement du jour s’inscrit dans le cadre de la “semaine mondiale d’action contre la violence armée” qui a lieu, tous les ans, du 15 au 21 juin.
Selon M. Koffi Tchédoh Sylvère, porte-parole du RASALAO, le TCA résulte de la volonté de l’Assemblée générale des Nations unies de réglementer le secteur du commerce des armes. Définissant ce traité sur le commerce des armes comme «un instrument légalement contraignant pour réglementer les transferts internationaux des armes conventionnelles», il poursuit pour en donner les objectifs. «Le but est d’éviter que les transferts internationaux mettent directement ou indirectement les armes entre de mauvaises mains», a-t-il ajouté.
Le porte-parole du RASALAO a, par ailleurs, souligné qu’un tel traité devrait être fondé sur les droits humains et le droit international humanitaire, et ratifié par les Etats membres de l’ONU pour être plus efficient. Raison pour laquelle il a déploré le peu d’engouement de certains Etats membres, notamment les USA et la chine, à adhérer au TCA. Il a également remercié le gouvernement ivoirien pour son engagement à contribuer positivement au processus d’élaboration et d’adoption du TCA.
La participation de l’Amnesty internationale, section Côte d’Ivoire a, quant à elle, porté sur la projection d’un film documentaire retraçant le parcours des armes depuis le pays d’origine jusqu’au pays d’accueil, montrant ainsi que, pour la plupart, ces armes atterrissaient dans les zones de conflits, contrairement aux résolutions de l’ONU.
La prochaine conférence relative à la semaine mondiale contre la violence armée se déroulera demain mercredi, à l’hôtel Pullman, au Plateau, à 16h30. Elle est organisée par le RASALAO-CI et le Réseau des journalistes pour la paix et la sécurité (RJPS) et portera sur «La commission nationale de lutte contre les armes légères et de petits calibres, ses missions, ses priorités, dans le cadre de la Convention de la CEDEAO sur les armes légères et de petit calibre, leurs minutions et autres matériels connexes, du TCA et du plan d’action d’ECOSAP».
Anne-Marie Eba stagiaire
Selon M. Koffi Tchédoh Sylvère, porte-parole du RASALAO, le TCA résulte de la volonté de l’Assemblée générale des Nations unies de réglementer le secteur du commerce des armes. Définissant ce traité sur le commerce des armes comme «un instrument légalement contraignant pour réglementer les transferts internationaux des armes conventionnelles», il poursuit pour en donner les objectifs. «Le but est d’éviter que les transferts internationaux mettent directement ou indirectement les armes entre de mauvaises mains», a-t-il ajouté.
Le porte-parole du RASALAO a, par ailleurs, souligné qu’un tel traité devrait être fondé sur les droits humains et le droit international humanitaire, et ratifié par les Etats membres de l’ONU pour être plus efficient. Raison pour laquelle il a déploré le peu d’engouement de certains Etats membres, notamment les USA et la chine, à adhérer au TCA. Il a également remercié le gouvernement ivoirien pour son engagement à contribuer positivement au processus d’élaboration et d’adoption du TCA.
La participation de l’Amnesty internationale, section Côte d’Ivoire a, quant à elle, porté sur la projection d’un film documentaire retraçant le parcours des armes depuis le pays d’origine jusqu’au pays d’accueil, montrant ainsi que, pour la plupart, ces armes atterrissaient dans les zones de conflits, contrairement aux résolutions de l’ONU.
La prochaine conférence relative à la semaine mondiale contre la violence armée se déroulera demain mercredi, à l’hôtel Pullman, au Plateau, à 16h30. Elle est organisée par le RASALAO-CI et le Réseau des journalistes pour la paix et la sécurité (RJPS) et portera sur «La commission nationale de lutte contre les armes légères et de petits calibres, ses missions, ses priorités, dans le cadre de la Convention de la CEDEAO sur les armes légères et de petit calibre, leurs minutions et autres matériels connexes, du TCA et du plan d’action d’ECOSAP».
Anne-Marie Eba stagiaire