Situé à deux pas de la capitale économique Abidjan et 30mn de Yamoussoukro, Toumodi, chef-lieu de département, a accueilli hier, le premier des Premiers ministres de Côte d’Ivoire. Un département dont les populations autochtones sont essentiellement des Baoulé issus des tribus N’Zikpli, N’Gban, Fa, Godèh, Nanafouè … A ceux-ci, s’ajoutent des allogènes, venus de tout le territoire ivoirien et les peules frères de la sous-région. Le département de Toumodi couvre une superficie de 3.032 Km2, avec une population estimée à 105.655 habitants, selon le dernier recensement de la population de 1998. Cinq sous-préfectures animent le chef-lieu de département. Les sous-préfectures d’Angoda à l’Est, Djékanou à l’Ouest, Kocumbo au centre-ouest, Kpouèbo et Toumodi au centre. L’état des lieux présentés par la porte-parole de la société civile est très sombre. Au niveau social, les populations sont victimes de l’insécurité grandissante. Une recrudescence de la violence dont les victimes sont les jeunes filles. A ce triste tableau s’ajoutent les vols à main armée, la délinquance juvénile, la prostitution et surtout, les assassinats gratuits dont les auteurs n’ont jamais été identifiés.
Faute d’unité industrielle, le chômage a atteint un taux de 35%. Toutefois, il a été l’une des causes de divorces, de la faiblesse du pouvoir d’achat. A ce jour, le panier de la ménagère, selon la porte-parole de la société civile est remplacé par les sachet plastique. Situation qui a exposé la population à la pauvreté généralisée et récurrente.
Quant aux infrastructures sanitaires et autres services d’utilité collective, il y a un manque criard d’établissements primaires et secondaires. Les pistes villageoises n’existent que nom. Dans de nombreux villages du département, il n’y a plus d’adduction d’eau potable. Car, toutes les pompes villageoises sont en panne depuis plusieurs années.
La jeunesse, espoir de demain, selon le tableau décrit par Yao lexis, est livrée à elle-même. Dans le camp des jeunes, c’est la désolation totale. Toutefois, la société civile, tout comme les jeunes du département, affirment soutenir la politique du président Alassane Ouattara, car disent-ils, « il est la solution». « Dr Alassane Ouattara, nous sommes déterminés à vous soutenir jusqu’aux élections présidentielles prochaines », ont fait remarquer les deux portes paroles.
Alassane Ouattara, en réponse à leurs préoccupations, a noté que son programme prévoit 56.milliards pour le département de Toumodi. Mais à la seule condition, qu’il soit soutenu et porté à la tête du pays.
Jacquelin Mintoh.
Faute d’unité industrielle, le chômage a atteint un taux de 35%. Toutefois, il a été l’une des causes de divorces, de la faiblesse du pouvoir d’achat. A ce jour, le panier de la ménagère, selon la porte-parole de la société civile est remplacé par les sachet plastique. Situation qui a exposé la population à la pauvreté généralisée et récurrente.
Quant aux infrastructures sanitaires et autres services d’utilité collective, il y a un manque criard d’établissements primaires et secondaires. Les pistes villageoises n’existent que nom. Dans de nombreux villages du département, il n’y a plus d’adduction d’eau potable. Car, toutes les pompes villageoises sont en panne depuis plusieurs années.
La jeunesse, espoir de demain, selon le tableau décrit par Yao lexis, est livrée à elle-même. Dans le camp des jeunes, c’est la désolation totale. Toutefois, la société civile, tout comme les jeunes du département, affirment soutenir la politique du président Alassane Ouattara, car disent-ils, « il est la solution». « Dr Alassane Ouattara, nous sommes déterminés à vous soutenir jusqu’aux élections présidentielles prochaines », ont fait remarquer les deux portes paroles.
Alassane Ouattara, en réponse à leurs préoccupations, a noté que son programme prévoit 56.milliards pour le département de Toumodi. Mais à la seule condition, qu’il soit soutenu et porté à la tête du pays.
Jacquelin Mintoh.
