Le Port autonome d’Abidjan présente toutes les garanties possibles aux opérateurs économiques qui opèrent dans cet espace. C’est ce qu’a déclaré la DGAMP (Direction générale des Affaires maritimes et portuaires), structure nationale qui veille à la bonne application des dispositions relatives à la sécurisation. C’était le mercredi 1er juillet 2009, au terme de deux jours de réflexion.
La communauté portuaire d’Abidjan, à travers son président, Marcel Gossio, directeur général du port autonome d’Abidjan, a été félicitée et réengagée à poursuivre le processus de mise en œuvre des réformes sécuritaires. En a ainsi décidé la DGAMP (Direction des Affaires maritimes et portuaires d’Abidjan), représentante de l’OMI (Organisation Maritime Internationale), dépositaire de la Convention de Solas et du Code ISPS (Code International pour la sûreté des navires et des installations portuaires). Cette structure qui a en charge le suivi et le contrôle du processus de mise en œuvre des mesures sécuritaires sur instruction d’autres organismes internationaux (gardes des côtes américains), a renouvelé les déclarations de Conformité des 17 installations de la plateforme portuaire d’Abidjan. Toute chose qui donne du coup à cet espace portuaire le caractère d’un port sécurisé et à même de prévenir et d’anticiper sur d’éventuels événements liés à l’insécurité. A l’annonce du renouvellement du Code ISPS, le Lt-colonel Tano Koffi Bertin, DG de la DGAMP, a félicité Marcel Gossio et ses collaborateurs pour le travail abattu. L’effort fourni par les uns et les autres a permis la mise en œuvre de la plate-forme sécuritaire. Tout en engageant l’autorité portuaire à poursuivre sur cette lancée, le Lt-colonel Tano Koffi Bertin a demandé que les projets annoncés (voir recommandations) se réalisent dans le délai. Satisfait de l’excellent travail fourni qui a abouti au renouvellement de la certification au titre du code ISPS, Marcel Gossio a indiqué que c’est une réelle fierté pour lui de brandir le certificat de Conformité, traduisant une récompense de ses efforts. Aussi a-t-il recommandé à tous les acteurs de s’engager dans le processus. «Nous ne pouvons pas réussir le pari de la sécurisation de l’outil portuaire si nous ne changeons pas de mentalité et inculpons en nous la culture de la sécurité et de sûreté», a-t-il déclaré.
Honoré Kouassi
La communauté portuaire d’Abidjan, à travers son président, Marcel Gossio, directeur général du port autonome d’Abidjan, a été félicitée et réengagée à poursuivre le processus de mise en œuvre des réformes sécuritaires. En a ainsi décidé la DGAMP (Direction des Affaires maritimes et portuaires d’Abidjan), représentante de l’OMI (Organisation Maritime Internationale), dépositaire de la Convention de Solas et du Code ISPS (Code International pour la sûreté des navires et des installations portuaires). Cette structure qui a en charge le suivi et le contrôle du processus de mise en œuvre des mesures sécuritaires sur instruction d’autres organismes internationaux (gardes des côtes américains), a renouvelé les déclarations de Conformité des 17 installations de la plateforme portuaire d’Abidjan. Toute chose qui donne du coup à cet espace portuaire le caractère d’un port sécurisé et à même de prévenir et d’anticiper sur d’éventuels événements liés à l’insécurité. A l’annonce du renouvellement du Code ISPS, le Lt-colonel Tano Koffi Bertin, DG de la DGAMP, a félicité Marcel Gossio et ses collaborateurs pour le travail abattu. L’effort fourni par les uns et les autres a permis la mise en œuvre de la plate-forme sécuritaire. Tout en engageant l’autorité portuaire à poursuivre sur cette lancée, le Lt-colonel Tano Koffi Bertin a demandé que les projets annoncés (voir recommandations) se réalisent dans le délai. Satisfait de l’excellent travail fourni qui a abouti au renouvellement de la certification au titre du code ISPS, Marcel Gossio a indiqué que c’est une réelle fierté pour lui de brandir le certificat de Conformité, traduisant une récompense de ses efforts. Aussi a-t-il recommandé à tous les acteurs de s’engager dans le processus. «Nous ne pouvons pas réussir le pari de la sécurisation de l’outil portuaire si nous ne changeons pas de mentalité et inculpons en nous la culture de la sécurité et de sûreté», a-t-il déclaré.
Honoré Kouassi
