Ils ont dit....
Charles Mensah, président de la Fepaci : “De la volonté aux actes pour les pouvoirs publics”
“Ce colloque est d’autant plus important qu’il nous permet de proposer des pistes de sorte que les pouvoirs publics passent de la volonté politique aux actes, pour mettre en place un environnement propice au développement du cinéma africain, pour en faire une véritable industrie”.
Ousmane William Mbaye, réalisateur sénégalais : “L’avenir du cinéma africain est en difficulté”
“Je m’attendais à des recommandations beaucoup plus nombreuses, à un rapport. Mais je reprends la conclusion du modérateur pour dire : c’est trop peu mais c’est déjà beaucoup. Je pense que l’avenir du cinéma africain est en difficulté. Nous allons continuer à faire du film, à mégoter, mais peut-être qu’on ne verra pas l’industrie”.
Boualem Aïssaoui, producteur /réalisateur algérien : “L’avenir du cinéma africain est prometteur”
“Il y a beaucoup d’initiatives dans les pays de l’Afrique subsaharienne qui sont merveilleuses. Nous produisons pour nous-mêmes mais nous ne produisons pas entre nous-mêmes. Nous pouvons, si nous nous unissons, faire un long chemin ensemble. Pour moi, l’avenir du cinéma africain est prometteur”.
Kodjo Adoukpoh, directeur national de la cinématographie du Togo : “Nous avons déblayé tous les problèmes”
“Nous avons déblayé tous les problèmes du cinéma. Notamment la distribution, la production, la formation. Chacun repart avec quelque chose qu’il va essayer à son niveau d’appliquer pour faire avancer le cinéma”.
Propos recueillis par C. Ebrokié
Charles Mensah, président de la Fepaci : “De la volonté aux actes pour les pouvoirs publics”
“Ce colloque est d’autant plus important qu’il nous permet de proposer des pistes de sorte que les pouvoirs publics passent de la volonté politique aux actes, pour mettre en place un environnement propice au développement du cinéma africain, pour en faire une véritable industrie”.
Ousmane William Mbaye, réalisateur sénégalais : “L’avenir du cinéma africain est en difficulté”
“Je m’attendais à des recommandations beaucoup plus nombreuses, à un rapport. Mais je reprends la conclusion du modérateur pour dire : c’est trop peu mais c’est déjà beaucoup. Je pense que l’avenir du cinéma africain est en difficulté. Nous allons continuer à faire du film, à mégoter, mais peut-être qu’on ne verra pas l’industrie”.
Boualem Aïssaoui, producteur /réalisateur algérien : “L’avenir du cinéma africain est prometteur”
“Il y a beaucoup d’initiatives dans les pays de l’Afrique subsaharienne qui sont merveilleuses. Nous produisons pour nous-mêmes mais nous ne produisons pas entre nous-mêmes. Nous pouvons, si nous nous unissons, faire un long chemin ensemble. Pour moi, l’avenir du cinéma africain est prometteur”.
Kodjo Adoukpoh, directeur national de la cinématographie du Togo : “Nous avons déblayé tous les problèmes”
“Nous avons déblayé tous les problèmes du cinéma. Notamment la distribution, la production, la formation. Chacun repart avec quelque chose qu’il va essayer à son niveau d’appliquer pour faire avancer le cinéma”.
Propos recueillis par C. Ebrokié