L’ancien président et chef de guerre libérien Charles Taylor a défié quiconque de prouver qu’un compte en banque à son nom recèlerait des fonds illicites, ou des “diamants de sang” provenant de la guerre civile qu’il a mené en Sierra Leone.
Témoignant pour la deuxième semaine devant le Tribunal spécial de l’ONU pour la Sierra Leone, Taylor nie avoir formé une force de guérilla pour envahir le pays voisin du Liberia, avoir entraîné des rebelles ou commandé de telles opérations.
Jeudi, le président Barack Obama a signé une extension du décret qui gèle les avoirs de Taylor aux Etats-Unis et les biens de ses épouses, de sa famille immédiate et des hauts responsables de son régime. Le décret évoque “l’épuisement des ressources du Liberia” et la volatilisation de fonds et de propriétés en dehors du pays qui “continue à saper la transition vers la démocratie”.
AFP
Témoignant pour la deuxième semaine devant le Tribunal spécial de l’ONU pour la Sierra Leone, Taylor nie avoir formé une force de guérilla pour envahir le pays voisin du Liberia, avoir entraîné des rebelles ou commandé de telles opérations.
Jeudi, le président Barack Obama a signé une extension du décret qui gèle les avoirs de Taylor aux Etats-Unis et les biens de ses épouses, de sa famille immédiate et des hauts responsables de son régime. Le décret évoque “l’épuisement des ressources du Liberia” et la volatilisation de fonds et de propriétés en dehors du pays qui “continue à saper la transition vers la démocratie”.
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