La première réunion du Joint Working Group (groupe de travail commun) a lieu à Abidjan depuis hier, à l’hôtel Tiama.
Harmoniser les méthodes de travail pour atteindre les quatre points de la certification. Voici l’objectif que visent la Côte d’Ivoire et le Ghana pour lutter contre les pires formes du travail des enfants. « Tous ceux qui font la certification ont décidé de travailler en commun. La Côte d’Ivoire et le Ghana ont décidé de conduire ensemble leur destin dans le traitement des questions du travail des enfants dans l’économie cacaoyère. Ce sont les deux pays qui sont taxés d’utiliser les enfants dans la cacaoculture », a dit René Kossa, représentant du secrétaire exécutif du système de suivi du travail des enfants. Le ministre de la Fonction publique et de l’Emploi, représentant le Premier ministre, a félicité les structures ivoirienne et ghanéenne pour tous les moyens qu’elles ont déployés dans le processus de la certification. « La lutte contre les pires formes du travail des enfants est désormais une bataille commune. La Côte d’Ivoire et le Ghana sont engagés depuis 2001 pour agir conjointement sur les questions de la lutte contre les pires formes du travail des enfants », a revélé le ministre Hubert Oulaye. Avant d’inviter toutes les parties (Côte d’Ivoire, Ghana et industriels chocolatiers) à harmoniser leurs efforts pour arriver à la certification. « C’est ensemble que nous éliminerons les pires formes du travail des enfants », a fait savoir le ministre de la Fonction publique et de l’Emploi.
Huberson Digbeu
Harmoniser les méthodes de travail pour atteindre les quatre points de la certification. Voici l’objectif que visent la Côte d’Ivoire et le Ghana pour lutter contre les pires formes du travail des enfants. « Tous ceux qui font la certification ont décidé de travailler en commun. La Côte d’Ivoire et le Ghana ont décidé de conduire ensemble leur destin dans le traitement des questions du travail des enfants dans l’économie cacaoyère. Ce sont les deux pays qui sont taxés d’utiliser les enfants dans la cacaoculture », a dit René Kossa, représentant du secrétaire exécutif du système de suivi du travail des enfants. Le ministre de la Fonction publique et de l’Emploi, représentant le Premier ministre, a félicité les structures ivoirienne et ghanéenne pour tous les moyens qu’elles ont déployés dans le processus de la certification. « La lutte contre les pires formes du travail des enfants est désormais une bataille commune. La Côte d’Ivoire et le Ghana sont engagés depuis 2001 pour agir conjointement sur les questions de la lutte contre les pires formes du travail des enfants », a revélé le ministre Hubert Oulaye. Avant d’inviter toutes les parties (Côte d’Ivoire, Ghana et industriels chocolatiers) à harmoniser leurs efforts pour arriver à la certification. « C’est ensemble que nous éliminerons les pires formes du travail des enfants », a fait savoir le ministre de la Fonction publique et de l’Emploi.
Huberson Digbeu