Il y a deux individus au commissariat du 1er Arrondissement de Yamoussoukro qui vous accusent d’être leur complice dans une attaque à main armée. Qu’en dites-vous?
Je n’ai rien à avoir avec cette histoire.
Où étiez-vous dans la nuit de samedi à dimanche ?
Le samedi j’étais à la «Rue princesse».
Vous avez organisé un spectacle à la Rue princesse ?
J’étais au Palais de la culture pour l’hommage à Douk Saga, ensuite je suis allé à la Rue princesse, chez Pascal. Puis je suis rentré à la maison pour dormir.
Mais vous avez été cité par deux individus qui disent que vous êtes complice d’une attaque à main armée
Je suis complice ? Donc vous avez mis ça dans le journal? Si vous écrivez cela alors vous aurez des problèmes.
Vous nous menacez donc ?
Je ne vous menace pas.
Je dis que vous avez été cité par deux individus dans une affaire d’attaque à main armée. Je vous appelle pour prendre votre avis.
Je viens de vous dire que j’étais à la Rue princesse. Je m’amusais tout simplement. Donc, il n’y a rien.
Vous ne vous reconnaissez pas dans cette histoire ?
Non.
Dans la nuit de samedi à dimanche votre BMW a été aperçue à Yamoussoukro ?
Vous êtes où et puis vous me parlez sur ce ton.
Je suis au bureau.
Vous savez ce qu’on va faire. Je vais payer ton taxi et y vous allez venir devant moi pour répéter ce que vous dites-là.
Je vais plutôt vous demander de venir me rencontrer au bureau.
Pour quelle raison je viendrai vous rencontrer ?
Je voudrais tout simplement prendre votre réaction par rapport à cette affaire.
Je voudrais savoir si vous êtes de la police judiciaire pour prendre ma version ? Je vous dis que je ne me reconnais pas dans cette affaire. Maintenant, si vous tenez à savoir ma version vous venez me voir. C’est aussi simple que cela. Je suis à Yopougon-Toit rouge. Venez me dire en face ce que vous raconter au téléphone. Si vous avez le courage, je vous attends. Les questions que vous posez j’attends que vous les répétiez devant moi. Et on verra ce qui va se passer.
Je pense que si je suis en face de vous votre langage va changer considérablement.
Si vous écrivez mon nom dans votre journal alors vous allez voir ce que je vais vous montrer. On verra qui est qui.
Il se fâche et raccroche le téléphone.
Propos recueillis par Bahi K.
Je n’ai rien à avoir avec cette histoire.
Où étiez-vous dans la nuit de samedi à dimanche ?
Le samedi j’étais à la «Rue princesse».
Vous avez organisé un spectacle à la Rue princesse ?
J’étais au Palais de la culture pour l’hommage à Douk Saga, ensuite je suis allé à la Rue princesse, chez Pascal. Puis je suis rentré à la maison pour dormir.
Mais vous avez été cité par deux individus qui disent que vous êtes complice d’une attaque à main armée
Je suis complice ? Donc vous avez mis ça dans le journal? Si vous écrivez cela alors vous aurez des problèmes.
Vous nous menacez donc ?
Je ne vous menace pas.
Je dis que vous avez été cité par deux individus dans une affaire d’attaque à main armée. Je vous appelle pour prendre votre avis.
Je viens de vous dire que j’étais à la Rue princesse. Je m’amusais tout simplement. Donc, il n’y a rien.
Vous ne vous reconnaissez pas dans cette histoire ?
Non.
Dans la nuit de samedi à dimanche votre BMW a été aperçue à Yamoussoukro ?
Vous êtes où et puis vous me parlez sur ce ton.
Je suis au bureau.
Vous savez ce qu’on va faire. Je vais payer ton taxi et y vous allez venir devant moi pour répéter ce que vous dites-là.
Je vais plutôt vous demander de venir me rencontrer au bureau.
Pour quelle raison je viendrai vous rencontrer ?
Je voudrais tout simplement prendre votre réaction par rapport à cette affaire.
Je voudrais savoir si vous êtes de la police judiciaire pour prendre ma version ? Je vous dis que je ne me reconnais pas dans cette affaire. Maintenant, si vous tenez à savoir ma version vous venez me voir. C’est aussi simple que cela. Je suis à Yopougon-Toit rouge. Venez me dire en face ce que vous raconter au téléphone. Si vous avez le courage, je vous attends. Les questions que vous posez j’attends que vous les répétiez devant moi. Et on verra ce qui va se passer.
Je pense que si je suis en face de vous votre langage va changer considérablement.
Si vous écrivez mon nom dans votre journal alors vous allez voir ce que je vais vous montrer. On verra qui est qui.
Il se fâche et raccroche le téléphone.
Propos recueillis par Bahi K.