L’hôtel des Parlementaires abrite depuis hier dimanche 25 octobre 2009, une table ronde des hommes d’affaires des Etats membres de l’Union du fleuve Mano que sont la Guinée, le Libéria, la Sierra Léone et la Côte d’Ivoire. Objectif : adopter une politique intégrée d’investissement sans frontière au sein de l’Union.
Si aucun développement durable ne peut se concevoir sans une économie forte, force est aussi d’admettre qu’aucune économie durable ne peut prospérer sans un secteur privé fort et cela à travers un solide partenariat privé- public. C’est dans ce contexte qu’a lieu la table ronde des hommes d’affaires dont le thème principal est : «Vers une politique d’investissement sans frontière au sein de l’Union du fleuve Mano». Il s’agit donc d’examiner et d’adopter un projet de protocole relatif au cadre juridique et institutionnel de la politique d’investissement sans frontière au sein de l’Union. Pour ce faire, cinq sous-thèmes ont été retenus. Dont la gestion intégrée de l’économie minière et énergétique ; le développement industriel et des services ; la sécurité alimentaire ; les infrastructures et services de transport ainsi que les affaires juridiques et institutionnelles. Le commissaire général de cette table ronde, M. Raymond Sibailly a, à l’ouverture des travaux, salué l’opportunité de cette rencontre. Selon lui, la table ronde est la bienvenue, en ce sens qu’elle se tient à un moment où les pays de l’Union doivent se préparer à reconstruire eux-mêmes leurs pays devant la réticence des investisseurs étrangers à s’engager dans des pays qu’ils considèrent encore comme pays à hauts risque. Mais grâce au protocole qui va être proposé aux chefs d’Etat et de Gouvernement, les choses vont pouvoir s’améliorer ; à savoir intégrer les hommes d’affaires dans les instances de décision de l’Union. Mieux, désormais, ce ne sont plus les hommes politiques qui vont décider à leur place.
Quant au secrétaire général de l’Union, SEM Abraham Bouré, il s’est félicité de la rencontre qui est un acte fort et porteur d’espoir parce qu’elle consacre l’amorce d’une nouvelle orientation en matière de politique d’investissement au sein de l’espace riche de 40 millions de personnes. Ainsi pour lui, il faut qu’au moins trois conditions nécessaires soient améliorées: l’opportunité d’investissements, l’assainissement de l’environnement des affaires et l’existence préalable d’un cadre juridique d’investissement, offrant des garanties suffisantes de sécurité aux investisseurs potentiels.
Représentant le ministre des Affaires étrangères de la Côte d’Ivoire, SEM Kouassi Bilé Silvestre a traduit la reconnaissance du gouvernement ivoirien pour avoir choisi son pays pour abriter cette rencontre.
Harry Adama
Si aucun développement durable ne peut se concevoir sans une économie forte, force est aussi d’admettre qu’aucune économie durable ne peut prospérer sans un secteur privé fort et cela à travers un solide partenariat privé- public. C’est dans ce contexte qu’a lieu la table ronde des hommes d’affaires dont le thème principal est : «Vers une politique d’investissement sans frontière au sein de l’Union du fleuve Mano». Il s’agit donc d’examiner et d’adopter un projet de protocole relatif au cadre juridique et institutionnel de la politique d’investissement sans frontière au sein de l’Union. Pour ce faire, cinq sous-thèmes ont été retenus. Dont la gestion intégrée de l’économie minière et énergétique ; le développement industriel et des services ; la sécurité alimentaire ; les infrastructures et services de transport ainsi que les affaires juridiques et institutionnelles. Le commissaire général de cette table ronde, M. Raymond Sibailly a, à l’ouverture des travaux, salué l’opportunité de cette rencontre. Selon lui, la table ronde est la bienvenue, en ce sens qu’elle se tient à un moment où les pays de l’Union doivent se préparer à reconstruire eux-mêmes leurs pays devant la réticence des investisseurs étrangers à s’engager dans des pays qu’ils considèrent encore comme pays à hauts risque. Mais grâce au protocole qui va être proposé aux chefs d’Etat et de Gouvernement, les choses vont pouvoir s’améliorer ; à savoir intégrer les hommes d’affaires dans les instances de décision de l’Union. Mieux, désormais, ce ne sont plus les hommes politiques qui vont décider à leur place.
Quant au secrétaire général de l’Union, SEM Abraham Bouré, il s’est félicité de la rencontre qui est un acte fort et porteur d’espoir parce qu’elle consacre l’amorce d’une nouvelle orientation en matière de politique d’investissement au sein de l’espace riche de 40 millions de personnes. Ainsi pour lui, il faut qu’au moins trois conditions nécessaires soient améliorées: l’opportunité d’investissements, l’assainissement de l’environnement des affaires et l’existence préalable d’un cadre juridique d’investissement, offrant des garanties suffisantes de sécurité aux investisseurs potentiels.
Représentant le ministre des Affaires étrangères de la Côte d’Ivoire, SEM Kouassi Bilé Silvestre a traduit la reconnaissance du gouvernement ivoirien pour avoir choisi son pays pour abriter cette rencontre.
Harry Adama